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Présidentielle américaine : l’équipe de Donald Trump affirme avoir été victime d’un piratage, l’Iran soupçonné d’être derrière l’incident

Présidentielle américaine : l’équipe de Donald Trump affirme avoir été victime d’un piratage, l’Iran soupçonné d’être derrière l’incident

L’équipe de Trump affirme avoir été piratée et accuse des « sources étrangères hostiles aux États-Unis » d’avoir obtenu « illégalement » les documents.

L’équipe de campagne du candidat républicain Donald Trump a affirmé samedi 10 août avoir été victime d’un piratage informatique, accusant « sources étrangères » d’avoir divulgué des communications internes et un dossier sur JD Vance, le colistier de l’ancien président.

L’équipe de Trump a suggéré que l’Iran était derrière cette décision, le média Politico ayant précédemment rapporté avoir reçu des courriels contenant des informations sur la campagne du républicain de la part d’une source qui a refusé d’être identifiée.

« Ces documents ont été obtenus illégalement auprès de sources étrangères hostiles aux États-Unis, dans le but d’interférer dans les élections de 2024 et de semer le chaos dans notre processus démocratique. »Le porte-parole de la campagne Trump, Steven Cheung, l’a déclaré dans un communiqué.

Un e-mail de phishing envoyé en juin

Cheung a souligné un rapport d’incident publié par Microsoft cette semaine indiquant que des pirates informatiques iraniens avaient « a envoyé un e-mail de phishing en juin à un haut responsable de la campagne présidentielle. »

Parmi les informations fournies à Politico figurent des informations sur JD Vance, le colistier de Donald Trump qui devrait devenir son vice-président si le candidat républicain est élu en novembre.

En 2016, les courriels du Comité national démocrate ont également été piratés, la fuite révélant des communications internes impliquant Hillary Clinton, la candidate alors choisie par le parti pour affronter Donald Trump.

Le milliardaire, qui avait remporté l’élection présidentielle cette année-là, avait été critiqué pour avoir encouragé la violation de données attribuée à la Russie.

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