
Au printemps 2024, alors qu’il était encore un leader du labour britannique, Keir Starmer a déjà promis un « Réinitialiser »Une refonte des relations avec l’Union européenne (UE). Depuis qu’il est entré dans Downing Street, en juillet, il n’a pas cessé d’en parler, mais au-delà des déclarations d’intention, de poignées à main et de sourires devant la caméra, le rapprochement souhaité entre Londres et Bruxelles N ‘a jusqu’à présent conduit à tout ce qui est tangible.
Le lundi 3 février, le dîner qui doit être organisé, à Bruxelles, entre le Premier ministre britannique et les vingt-sept chefs d’État et le gouvernement de l’UE, consacrés à une discussion informelle sur la défense, pourrait enfin signer les négociations concrètes du béton de départ en vue du rapprochement.
À l’ordre du jour, deux sujets pressants, qui ont remis l’un et l’autre au mur: le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et l’avenir incertain de la guerre en Ukraine. Le président américain exige que les Européens portent à 5% de leur produit intérieur brut (PIB) leurs frais de défense, pour assumer davantage la sécurité collective du continent, désormais largement assuré par les États-Unis. Et ils reviendront probablement à fournir des garanties à un éventuel Cease ou un traité de paix entre l’Ukraine et la Russie, souhaité par Donald Trump.
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