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« Pourquoi y a-t-il une si grande différence de traitement et de jugement ? » Simona Halep, suspendue en 2022, critique la clémence de l’ITIA envers Iga Swiatek

Alors que le test positif d’Iga Swiatek apporte son lot de questions, Simon Halep se pose publiquement des questions. La Roumaine de 33 ans, actuelle 877e mondiale mais ancienne numéro 1 mondiale, a publié un long message sur son compte Instagram dans lequel elle compare le cas de la Polonaise au sien, lorsqu’elle avait été suspendue provisoirement, en octobre 2022, puis suspendu pendant quatre ans, une sanction réduite à 9 mois en mars après son recours devant le Tribunal arbitral du sport.

« Je m’assois et j’essaie de comprendre, écrit Halep, mais c’est vraiment impossible pour moi de comprendre quelque chose comme ça. Pourquoi y a-t-il une si grande différence de traitement et de jugement ? Je ne trouve pas et je ne pense pas qu’il puisse y avoir de réponse logique. Cela ne peut être qu’une mauvaise volonté de la part de l’ITIA (Agence internationale pour l’intégrité du tennis)l’organisation qui a absolument tout fait pour me détruire malgré les preuves. »

Elle dénonce une « injustice »

Le vainqueur de Roland-Garros 2018 parle ainsi « d’injustice » en raison de la suspension provisoire qui lui a été imposée, et du temps qu’il lui a fallu pour prouver enfin que la substance interdite détectée dans son organisme provenait d’une contamination. Dans le cas de Swiatek, l’ITIA, qui gère le programme antidopage du tennis, a reconnu que le résultat était dû à une contamination de son médicament à base de mélatonine.

Jeudi, c’est Denis Shapovalov, 56e mondial, qui a plaisanté sur la suspension infligée à l’actuel numéro 2 mondial, s’étonnant de sa durée.

Cammile Bussière

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