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NARRATIF – De plus en plus d’écoles abandonnent les fameuses fêtes des mères et des pères. Il préfère les « fêtes des familles » ou « les fêtes des gens qu’on aime » pour ne pas heurter les sensibilités.
Une polémique qui resurgit avec les rayons du soleil. A l’approche de la fête des mères – elle sera célébrée cette année le dimanche 26 mai – les esprits s’échauffent déjà. Dans le viseur ? Une journée qui, pour certains, serait gênante, voire discriminatoire. C’est ce que Jérôme*, père de deux enfants scolarisés dans une école de l’ouest parisien, a cru comprendre en ouvrant ses mails sur la plateforme de l’école : « Compte tenu des différentes situations familiales de nos élèves, nous ne célébrerons ni la fête des mères ni la fête des pères. En revanche, nous organiserons une « fête pour les gens que nous aimons » le 14 juin..
Ce message succinct est révélateur d’une tendance beaucoup plus générale. Depuis plusieurs années, de plus en plus d’écoles abandonnent les célébrations célébrant chacune des deux figures parentales pour d’autres formats : « Fête des parents », « Fête de la famille » ou encore « Fête des gens qu’on aime »« . Solène* a découvert…