Pourquoi Renault lance des minibus autonomes
La trajectoire est fluide, les arrêts et redémarrages après qu’une priorité donnée à une voiture ou à un piéton soit sécurisé, et la vitesse de circulation approche les 30 km/h. Or, ce minibus qui circule au sein du Technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines) ne dispose ni de poste de conduite ni de volant. Assis au fond, un superviseur surveille le bon déroulement des opérations, un oeil sur sa tablette.
Mardi, une dizaine de journalistes étaient invités par le constructeur pour tester la technologie de conduite autonome développée par son partenaire chinois WeRide. Les Parisiens pourront bientôt aussi en juger : deux navettes sans conducteur seront testées en conditions réelles à partir du 26 mai autour du tournoi de tennis de Roland-Garros.