Pourquoi le Barreau de Paris propose l'intelligence artificielle à ses avocats les plus modestes
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Pourquoi le Barreau de Paris propose l’intelligence artificielle à ses avocats les plus modestes

Pourquoi le Barreau de Paris propose l’intelligence artificielle à ses avocats les plus modestes

DÉCRYPTION – Le bâtonnier, Pierre Hoffman, met 1 million d’euros sur la table pour les équiper de la solution créée par l’éditeur juridique Lefebvre Dalloz.

 » Plutôt que de tenir des conférences de 300 les gens sur intelligence artificielle (IA), il vaut mieux aider concrètement 14 000 avocats. » Pierre Hoffman, bâtonnier du Barreau de Paris, lance ce qu’il estime être l’action la plus importante de son mandat alors qu’en dix-huit mois, AI fait une entrée fracassante dans le monde du droit. Avec l’accord du Conseil de l’Ordre, elle met à disposition des plus petits cabinets d’avocats un abonnement à GenIA-L, l’outil d’intelligence artificielle développé par le principal éditeur juridique français Lefebvre Dalloz, celui des petits codes rouges bien connu des avocats.

 » Nous ciblons toutes les entreprises unipersonnelles ou celles ne comptant que deux personnes maximum », explique Pierre Hoffman. A l’exception des grands noms du barreau qui travaillent seuls, car, comme le souligne le Conseil de l’Ordre, « ces derniers ont toujours trois à quatre collaborateurs pour les épauler ». Au début de cette initiative…

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