pour recruter 170 personnes dans la Sarthe, Tolomei veut attirer
Ce jeudi après-midi 23 mai 2024, à l’Atelier de la maroquinerie, à La Chartre-sur-le-Loir, une des quatre usines sarthoises du groupe Tolomei, cette affiche dit, à elle seule, presque tout : Recruter c’est bien, garder ses collaborateurs c’est mieux.
Ce n’est pas nouveau, mais le phénomène se confirme : Tolomei est en plein essor. Et par conséquent, ses besoins en main d’œuvre sont assez énormes. Ce jeudi à La Chartre-sur-le-Loir, lors d’une visite guidée de l’atelier, initiée par la Fédération Française de la Maroquinerie, dans le cadre de l’observatoire de la maroquinerie, l’objectif était donc de faire passer ce message : nous prenons soin du personnel, et nous accueillerons à bras ouverts ceux qui enverront leur candidature.
Pour se faire une idée de la situation, il faut déjà savoir que la maroquinerie made in France a le vent dans le dos. Il est célèbre dans le monde entier
, assure Eric Dailey, PDG de Tolomei, dont les clients sont plusieurs grandes maisons de luxe. Depuis plusieurs années, le groupe travaille également pour sa propre marque : Le Tanneur, qu’il a rachetée.
Un CAP maroquinerie maison
Sacs, ceintures, petite maroquinerie, mais aussi bagages : ce qui sort des usines Tolomei est le fruit d’un savoir-faire rigoureux. Travail manuel, marié à l’utilisation de la haute technologie comme…