pour le président du CIO, il n’y a « aucune inquiétude » avec les élections en France
Thomas Bach a salué « l’enthousiasme que l’on ressent dans toute la ville » de Paris et qui « commence à l’aéroport ».
Le président du Comité international olympique Thomas Bach a estimé vendredi que Paris était « prêt » d’accueillir les Jeux Olympiques, assurant une nouvelle fois que la tenue d’élections législatives anticipées en France entre-temps ne l’inquiétait pas. « 42 jours avant la cérémonie d’ouverture »26 juillet « on peut le dire avec beaucoup de confiance : Paris 2024 est prêt »a jugé le patron du CIO, de retour d’une visite dans la capitale française.
Il a loué « l’enthousiasme que l’on ressent à travers la ville » et cela « commence à l’aéroport »entre les drapeaux annonçant les Jeux, « des sites spectaculaires » compétition et anneaux olympiques accrochés à la Tour Eiffel pendant une semaine. Alors que les élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet plongent le pays hôte dans l’incertitude, il relativise une nouvelle fois l’impact du scrutin sur la grand-messe sportive à venir.
« Lundi, j’ai vu de mes propres yeux l’unité totale »
« Non, nous ne sommes pas inquiets, et pour cause : lundi, j’ai vu de mes propres yeux (…) l’unité totale. Gouvernement comme opposition ont exprimé leur souhait, voire leur détermination, de voir la France se présenter sous son meilleur jour lors de ces JO., il a dit. La dissolution annoncée dimanche soir de l’Assemblée nationale impacte également la désignation attendue des Alpes françaises comme hôte des Jeux olympiques d’hiver de 2030, qui sera officialisée par le CIO le 24 juillet, à condition qu’entre-temps des garanties financières de l’État et des régions soient assurées. sont présentés.
« Il y a une procédure constitutionnelle à suivre, qui empêche le gouvernement de donner ces garanties » immédiatement, a expliqué Thomas Bach, mais « c’est juste une question juridique ». « Toutes les indications vont dans le bon sens » et suggère que ces documents « sera publié très rapidement après le second tour des élections »a assuré le responsable de l’Olympisme.