Pouille ne veut pas du RC Lens comme modèle
Il y a quelques jours, le Stade Rennais procédait à un grand changement interne, en nommant Arnaud Pouille comme nouveau président exécutif – directeur général du club. L’ancien dirigeant du RC Lens, débarqué à l’intersaison par le président Joseph Oughourlian, ne mettra donc pas longtemps à trouver un nouveau projet. Le nouvel homme fort du SRFC a d’ailleurs été présenté à la presse ce jeudi. Parmi les sujets abordés, le manager de 49 ans a évoqué d’éventuelles similitudes entre le projet lensois et rennais.
Arnaud Pouille n’est pas venu réécrire l’histoire
« J’ai envie de dire oui bien sûr, mais chaque club a sa propre identité. Il y a des similitudes ne serait-ce que dans les territoires, dans l’état d’esprit. En 2017, quand je suis arrivé à Lens, l’objectif était de sauver le club, de remonter en Ligue 1, d’y rester et si possible, parce que le macro environnement du football pousse vers ça, de temps en temps pour pouvoir disputer des compétitions européennes. . La feuille de route y a été respectée. « , a-t-il assuré, avant de se pencher sur le cas de son nouveau club.
« Maintenant, je suis à Rennes, je comprends petit à petit, au plus vite, ce qu’est le Stade Rennais, ce dont il a besoin pour être durable et régulier. Rennes tout le monde aime, il y a une cote de sympathie, mais quelque chose dit : oui il y a parfois de belles performances puis parfois ça devient un peu moins efficace si tu es performant à un moment donné, c’est parce que tu as les clés pour réussir. Il s’agit maintenant de savoir comment on fait tous ensemble pour redevenir efficace. « Oui, il y a des similitudes, mais chaque histoire a son identité, ses circonstances, et il faut avoir l’intelligence pour ne pas toujours vouloir réécrire l’histoire », a prévenu Arnaud Pouille, dans des propos rapportés par Stade Rennais Online.
Pour résumer
Nouveau manager du Stade Rennais, Arnaud Pouille a évoqué les similitudes entre le projet rennais et celui qu’il a pu mettre en œuvre au RC Lens. Malgré tout, il a assuré que l’objectif n’était pas de réécrire la même histoire.