Plusieurs sportifs testent la solidité de leurs lits en carton (vidéo)
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Plusieurs sportifs testent la solidité de leurs lits en carton (vidéo)

Plusieurs sportifs testent la solidité de leurs lits en carton (vidéo)

A leur arrivée au village olympique, situé en Seine-Saint-Denis, plusieurs athlètes ont décidé de tester la solidité de leurs lits en carton.

Environ 11 000 sportifs séjourneront au village olympique en Seine-Saint-Denis. Et si la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 a lieu ce vendredi, certains sont déjà arrivés et ont pu tester les chambres et surtout leurs lits… en carton. Comme ils l’avaient fait il y a trois ans à Tokyo, plusieurs d’entre eux ont posté des vidéos sur les réseaux sociaux.

C’est le cas du Britannique Tom Daley, médaillé d’or au Japon en plongeon, qui a testé le sommier en carton et le matelas modulable avec une couette à l’effigie de Paris 2024. « Pour ceux qui s’interrogent sur les lits en carton du village, je vais vous montrer à quoi ils ressemblent, a-t-il expliqué. Comme vous pouvez le voir, ils sont plutôt solides ! »

Les joueurs de rugby irlandais Harry McNulty et Jordan Conroy ont également réalisé une vidéo humoristique.

« Ce n’est pas une blague (…) comme vous pouvez le voir, le lit olympique est en carton », lui a expliqué le judoka français Julien Brulard en réalisant une vidéo de sa chambre.

Le gymnaste anglais Rhy McClenaghan a également testé les lits et a répondu aux critiques sur leur durabilité. « La dernière fois que je les ai testés, ils ont tenu le coup. Mais j’ai peut-être manqué un peu de rigueur », a-t-il écrit. « Ils ont réussi le test, c’est une fausse nouvelle. »

La joueuse australienne de water-polo Matilda Kearns a quant à elle déclaré qu’elle n’avait pas très bien dormi. « Première nuit sur les lits en carton. J’ai déjà eu un massage pour réparer les dégâts », a-t-elle dit. « C’est dur comme de la pierre. Apparemment, il y a un côté plus doux… mais c’était déjà le côté plus doux. »

D’autres Australiennes très drôles sont les joueuses de tennis Daria Saville et Ellen Perez. Elles les ont testées de toutes les manières possibles : en s’accroupissant, en jouant au volley-ball et en essayant de fracasser leur raquette.

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