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« Pleurer en silence, hurler seule » Veronika Loubry évoque le cancer « stade 4 » de son époux, tout « Quelle époque » ému

Véronika Loubry a eu plusieurs vies. Au milieu des années 90, elle était l’hôte leader de plusieurs spectacles mythiques. Pour preuve, au début du deuxième millénaire, elle reçut une récompense pour son travail sur une chaîne câblée, MCM.

Dans le même temps, Véronika Loubry se reconvertit un temps actrice. Après avoir joué aux côtés d’Hélène Rollès, elle devient la star de 40 épisodes de « Paradis d’enfer ». Hélas, malgré ses efforts, la mayonnaise ne séduit pas les téléspectateurs.

Sur les réseaux sociaux, Véronika Loubry découvre les coulisses de son quotidien d’une femme d’affaires, de sa tribu recomposée et d’un éternel romantique. Propriétaire d’une boutique dans le sud de la France, elle ne quitte d’ailleurs jamais son appareil photo. Elle met désormais son expérience au service de plusieurs marques.

Côté privé, Veronika Loubry a été mariée deux fois, mais toujours avec des sportifs. D’abord, elle tombe amoureuse d’un véliplanchiste puis
deux enfants

avec un footballeur.

En 2016, lorsqu’elle croise la route de Gérard Kadoche, elle est tombé amoureux au premier regard. Et l’inverse est vrai. Comme elle le dit si bien, son chéri réussi à « raviver la flamme ». Malheureusement, le couple ne le sait pas encore
maladie

ébranleront leur précieux équilibre.

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« Je vis en enfer »

Dans son livre, Véronika Loubry la décrit « combat à deux« . Il y a un an, lors d’un « prise de sang ordinaire« , son homme apprend qu’il a un « cancer du pancréas de stade IV« . À partir de ce moment-là, elle a eu un déclic et a dit à tous ceux qui voulaient l’écouter : «la vie doit continuer ».

Dès lors, elle enfile plusieurs costumes à la fois. »un soignant, un compagnon, un guerrier, une amazone » Son seul objectif est de « Protégez-le« . Très vite, elle décrit le rôle de la personne « à côté » du patient. Face à lui, elle doit « sourire et faire semblant« . À de très rares exceptions près, « silencieusement« elle peut se permettre »pleurer et crier seul« .

Le cancer reste encore trop souvent un sujet tabou. Plus que jamais, Veronika Loubry le prouve à tous sa résilience. Un bon exemple à suivre !

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