Une libération de prison apparemment discrète, mais qui marque le début d’une vie quotidienne très stricte. Le 16 avril, à 9 h, Pierre Palmade a quitté le centre pénitentiaire de Gradignan, Gironde, après avoir obtenu en appel Le développement de sa phrase. Installé depuis son domicile, l’humoriste de 57 ans reste sous surveillance étroite, avec des règles spécifiques à observer dans la lettre.
Pas de score au poste de police, mais un policier dans une faction permanente devant son domicile. Il doit prendre soin, participer chaque soir Réunions anonymes de stupéfiantset respecter les horaires de sortie très supervisés. Il reste gratuit pendant quelques heures par jour, à condition de rester à Gironde et d’éviter certains districts sensibles de Bordeaux, connus pour leur proximité avec les médicaments.
« Pierre Palmade était terrifiée par sa détention »
Si cette version marque une étape légale, elle ne représente pas une véritable bouffée d’oxygène. « Pierre est soulagé. C’était très impatient d’être enfermé. Sa détention s’est bien déroulée même s’il y avait Quelques moments de tension« »Un être cher a dit
Bfmtv. Et
Ici Paris Confirmer:
« Il était terrifié par sa détention. » Une contrainte constante, que cette semi-liberté ne semble pas être complètement dissipée.
Parce que maintenant, c’est l’isolement qui pèse. L’humoriste, connu pour ses nombreux liens dans le monde du spectacle, se retrouve presque seul. Loin des projecteurs, il fait face à une vie quotidienne morne et silencieuse. Son entourage proche a réduit comme un chagrin.
« Tous ses amis tourna le dos sur luiEn dehors de Michèle Laroque qui l’a mentionné récemment sur la France Inter Du Lips « révèle une source dans le magazine. Une observation du glaçage pour celle qui, il y a deux ans, a fait une salle emballée.
«Nous espérons qu’il tiendra la route devant sa solitude»
En plus de ses amis absents, ses relations familiales sont loin d’être pacifiques. Selon le dernier numéro deIci ParisPublié ce mercredi 23 avril, ses sœurs ne seraient pas très présentes non plus, ou du moins, Les liens seraient tendus. Isolement émotionnel total, qui inquiète profondément les rares parents toujours en contact avec lui.
« Nous espérons qu’il tiendra la route devant sa solitude »souffle l’un d’eux.
Cette solitude est d’autant plus redoutée car elle pourrait peser lourdement sur sa capacité à se conformer à ses obligations. Entre les contrôles réguliers, les contraintes géographiques et les interdictions de contact, la moindre faux pas pourrait la faire plonger en cellules. Pour le moment, Pierre Palmade s’accroche à cet semblant de liberté. Mais les prochaines semaines seront décisives.