« Du crash à la poubelle, histoire d’une fugue« . C’est le titre de l’article publié par Libérer aujourd’hui sur l’affaire Palmade. Alors que « la justice doit se prononcer sur son renvoi devant le tribunal correctionnel pour homicide involontaire »le quotidien a décidé de revenir en détail sur le dramatique accident survenu le 10 février 2023. Un accident dans lequel une future maman a perdu le bébé qu’elle attendait et dans lequel un père et son fils ont été grièvement blessés.
Les proches de Pierre Palmade s’expriment un an après l’accident
Si Libérer Soulignant la douleur vécue par les victimes, le quotidien a également contacté les proches de Pierre Palmade pour évoquer l’accident et les conséquences du drame pour l’acteur et humoriste. Et un an plus tard, il est encore difficile pour certains de s’exprimer publiquement. « Parler pourrait aider beaucoup de gens. »» a déclaré un ancien collaborateur avant de faire machine arrière le lendemain en envoyant : « Après réflexion, je ne m’exprimerai pas sur le sujet. Merci bonne journée. »
Alex Lutz a seulement répondu : « C’est sombre et c’est triste, c’est tout ». « Pierre est très affecté, il a encore du mal, ça ne sert à rien d’en rajouter. », a également confié un comédien resté anonyme. Le producteur Christophe Combarieu dénonce de son côté l’engouement dont a souffert l’humoriste. « Nous avons vécu une chasse à l’homme. C’était Mort en direct, l’histoire d’un gars qui s’est battu pour ne pas se faire tuer ».
François Rollin défend Pierre Palmade
Depuis l’accident, plusieurs amis de Pierre Palmade lui ont tourné le dos. Ce qui n’est pas le cas de François Rollin, comme le rappelle Libérer. « C’est un ami qui a fait une énorme erreur, mais c’est mon ami. Dans cette histoire, il y a une souffrance qu’on ne réparera pas, celle de la famille des victimes. Le reste est devenu un exutoire mais la haine n’apporte rien »a souligné celui qui s’était déjà exprimé en février 2023 dans Sept à huit (TF1). « Depuis très longtemps, il s’est juré qu’il s’en sortirait, il essaie de s’en sortir. Il m’a laissé lui parler comme un père qui disait : « Non, nous devrions arrêter. » « Oui, oui, mais je veux arrêter (…) Ça y est, je m’en vais » (…) Et puis 15 jours plus tard, on a un rendez-vous où je l’appelle. « Je m’y suis un peu retombé »expliquait alors François Rollin.