Pour renforcer cet hiver, Brest cherchait un côté gauche en particulier et pourquoi pas un environnement. Le Breton Club a recruté Justin Bourgault à Concarneau (N) pour remplir la première position, et il a également trouvé un nouveau peu au cœur du jeu: Pierre Lees-Melou, 31 ans, sous contrat jusqu’en 2027.
Le Girondin en est en fait dans sa troisième saison dans le maillot des Pirates et c’était évidemment un élément clé de la 3e place obtenu au printemps dernier. Mais nous l’avions à peine vu depuis cet été. Formé par des blessures (alimentées, Blow), il a célébré samedi contre le PSG (2-5) son 7e mandat, le premier depuis le 22 novembre, tandis que Brest a disputé 30 matchs. D’une certaine manière, malgré lui, il avait disparu un peu de la circulation, et Éric Roy avait notamment donné sa confiance à Edimilson Fernandes pour le remplacer.
La meilleure version de lui-même avec le ballon contre PSG
Sauf que lorsque Lees-Melou joue samedi, cela semble essentiel. Déjà bon dans chacune de ses sorties cette saison, avec un point culminant une reprise d’une volée synonyme d’un but contre Leverkusen (1-1, le 23 octobre), l’ancien Niçois a livré la meilleure version de lui-même avec le ballon dans le ballon Dans le ballon dans le ballon dans le ballon, le nouveau 4-2-3-1 a concocté par son entraîneur.
Le stade Francis-Le Blé a offert des crêpes pour le chandelier et il a pris soin des crêpes, essayant de jouer comme il l’avait indiqué dans nos colonnes (« Mon jeu, c’est le contrôle »): Simple, en épuisant et en accélérant le jeu. Les statistiques ont confirmé cette impression, avec 36 de ses 41 passes réussies (et pas n’importe quoi), ses quatre duels ont gagné, ses trois plaqués réussis et cinq ballons récupérés. Peut-être qu’il aurait pu faire encore mieux dans le jeu sans ballon, mais « Je suis très heureux à un niveau personnelIl était satisfait par la suite. Déjà, réel (0-3, demi-heure mercredi) s’était bien passé. Là, 75 minutes, nous avons traîné un peu, ça devait être moins, mais ça s’est bien passé. Pour le moment, tout va bien. »»
Bonne nouvelle pour Brest, qui trouve son métronome au meilleur moment. Parce qu’une partie de la main-d’œuvre donne le sentiment de dessiner la langue en raison du calendrier en démence, tandis que la double confrontation longuement attendue (11 et 19 février) se profile contre le PSG en Ligue des champions.
« Nous n’y sommes pas habitués, mais nous, les joueurs, nous sommes plutôt heureux, nous ne nous entraînons pas beaucoup, nous jouons les matchs, Il s’est confié. Là, nous n’avons pas trop de temps pour Gamber, nous continuons, et je trouve ça assez cool. J’espère qu’il tiendra mais j’aime ce genre de rythme. »» Si en plus l’état d’esprit est positif, Brest détient vraiment une excellente recrue pour sa deuxième partie de la saison.