perquisitions au Parlement européen à Bruxelles et à Strasbourg dans le cadre d'une enquête sur des soupçons d'ingérence russe
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perquisitions au Parlement européen à Bruxelles et à Strasbourg dans le cadre d’une enquête sur des soupçons d’ingérence russe

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Bruno Retailleau et François-Xavier Bellamy se disent opposés à une coalition avec Renaissance après les élections européennes

Le chef du groupe Les Républicains (LR) au Sénat, Bruno Retailleau, et la tête de liste LR aux élections européennes, François-Xavier Bellamy, se sont déclarés opposés mercredi à une coalition entre LR et la majorité, comme a proposé de couvrir les propos du président du Sénat, Gérard Larcher. Interrogé sur Radio J, M. Retailleau a déclaré « ne pas croire » à une coalition LR-Renaissance et a plaidé pour une dissolution de l’Assemblée nationale au lendemain des élections européennes.

« Emmanuel Macron est-il prêt à entreprendre une révolution pénale avec des peines courtes, avec l’abaissement de la majorité pénale ? Est-il prêt pour un référendum sur la question migratoire ? Est-il prêt à « débureaucratiser » l’État ? Est-il prêt à faire une sélection universitaire ? Je n’y crois pas « il a dit. « J’ai une vision gaullienne des institutions. Quand il y a un blocage, parce qu’aujourd’hui il y a un blocage en France, notamment à l’Assemblée nationale, où on ne peut pas faire passer des textes forts (…)nous revenons aux électeurs”il a plaidé.

Pour M. Bellamy, « Jamais de ma vie cela n’arrivera » une telle coalition. « Les gens qui s’engagent aujourd’hui pour la droite auraient eu 1 000 fois la possibilité de passer dans un autre camp »a-t-il noté sur Franceinfo. « Ceux qui restent sont ceux qui sont fidèles, constants, cohérents. Ce sont nos députés, ce sont nos sénateurs qui, chaque jour, mènent la lutte contre le macronisme à l’Assemblée nationale et au Sénat.»se vantait-il.

Dans un entretien à l’Agence France-Presse, M. Larcher a déclaré « qu’il va falloir apporter une réponse » après les élections européennes, alimentant les spéculations sur l’idée d’une coalition entre la droite et la majorité.

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