Père Noël : Cette particularité physique qui lui a valu les moqueries, elle a quitté l’école et le reste… vous la connaissez !
Curieux de nature, Bertrand est toujours à l’affût du moindre petit scoop. Passionné de football, il n’est jamais bien loin du ballon rond et de toute l’actualité qui en découle. Cependant, les événements du showbiz ou de la politique font également partie de ses recherches journalistiques préférées.
Le Père Noël fait toujours autant de bruit avec son tube « Popcorn salé ». Nos confrères de « Paris Match » sont allés à sa rencontre (interview disponible dans leur édition du jour, ce jeudi 18 juillet). L’occasion d’en apprendre davantage sur elle, notamment son enfance et sa scolarité.
Père Noël : Cette particularité physique qui lui a valu les moqueries, elle a quitté l’école et le reste… vous la connaissez !
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Aujourd’hui, focus sur Santa, de son vrai nom Samanta Cotta. Initialement connue pour être la chanteuse du groupe de rock anglophone Hyphen Hyphen depuis 2009, cette chanteuse niçoise de 30 ans connaît depuis peu un succès solo, notamment grâce à son EP 999 sorti en 2022. Un projet dont est tiré son single Pop-corn salé, qu’elle vient de chanter dans les grands festivals d’été, comme Solidays et les Francofolies.
Mais alors, que sait-on d’elle ? Eh bien, ça tombe bien, car nos confrères de Paris Match l’ont rencontrée. Et ils nous proposent cette interview exclusive dans leur édition du jour, ce jeudi 18 juillet. On apprend alors beaucoup de choses. Notamment le fait qu’elle a été victime de moqueries étant enfant. Entre autres à cause d’une particularité physique : « Toutes ces tensions sociales étaient très dures pour moi, surtout parce que j’avais une tache de naissance et que nous ne parlions pas encore de « différence ».«
Le Père Noël a quitté l’école très tôt
Le Père Noël a été retiré de l’école à un très jeune âge : «J’étais un peu précoce. (…) J’ai passé un contrat moral avec mes parents. J’ai appris à lire et à écrire en dernière année de maternelle. Je m’ennuyais à mourir et je n’avais rien à faire en classe. Je leur ai demandé de me retirer de l’école et ils ont accepté. Mon école, c’était la chaîne de télévision Arte. C’est elle qui m’a donné ma culture. Tout cela s’est fait avec des psychologues, des psychiatres et des batteries de tests. J’ai eu énormément de chance d’être comprise par l’Education nationale. » . «
La musique devient alors une échappatoire pour cet artiste, qui, rappelons-le, est très engagé : «J’avais du temps libre et il y avait un piano à la maison. Je m’amusais avec, je commençais à comprendre les harmonies. J’essayais de reproduire ce qui se passait à la radio. Surtout, j’ai eu la chance d’avoir une prof de piano qui m’a acceptée à 4 ans. J’observais ses mains et j’imitais ce qu’elle faisait. La musique m’a permis de saisir ce qui était chaotique pour le rendre harmonieux.«
Après un échec au Conservatoire de Nice, sa carrière décolle enfin. Un parcours très inspirant !