Pénurie d’eau : la menace d’une « crise de la soif » plane sur Casablanca
Face à cette situation critique, Afilal a indiqué que « la Commune cherche à trouver des solutions avec les partenaires, notamment Lydecafin d’assurer l’approvisionnement en eau de la ville pendant la période estivale ». Le maire adjoint de Casablanca a rappelé que la métropole a besoin de 23 000 mètres cubes d’eau par jour. A ce propos, la Commune a commencé à réduire le quotidien débit d’eau potable dans le réseaux de distribution dans un certain nombre de quartiersa-t-il dit. Et de noter que le Conseil avait précédemment ordonné la entreprises de nettoyage pour arrêter d’utiliser leeau potable pour le nettoyage des rues et réduire le gaspillage de ce matériau vital.
La question de l’exploitation des sources d’eau de la ville qui ont été ensevelis à cause des travaux est envisagée par les responsables de la Commune, qui soulignent que si la sources naturelles situés dans plusieurs zones ont été exploités, la ville ne connaîtrait pas pénurie d’eau. Dans ce contexte, Afilal a cité quelques exemples tels que les sources d’eau situées au niveau de préfectures d’Ain Sebaâ et d’Ain Chockqui ont été enfouis en raison de travaux ces dernières années et dont les eaux sont canalisées via les réseaux d’égouts. Il est à noter que la capitale économique, sur la base d’un projet gouvernementalverra la construction d’un barrage afin de faire face au problème de pénurie d’eau, notamment dans le sud de Casablanca, où se situent les quartiers de Hay Hassani, Ain Chock et Moulay Rachid.
Grb2