« Pas du tout » : Damien Thévenot parle trop vite de Michel Blanc, Thierry Lhermitte le recadre
Le 3 octobre, Michel Blanc décède subitement. Une disparition tragique qui a choqué ses amis et proches. Avant sa mort, l’acteur a participé à l’écriture de l’œuvre Le Splendid par le Splendid, on s’est bien amusé ! Des écrits que ces derniers considéraient comme
« des lettres d’amour que nous nous écrivons ». Bien que ce livre soit sorti le 21 novembre, il relate l’histoire de la saga culteraconté par Josiane Balasko, Michel Blanc, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte et Bruno Moynot, eux-mêmes.
Dans les colonnes du Parisien, Thierry Lhermitte s’est également souvenu du moment où il avait envoyé la preuve (copie avant impression) à son camarade, trois jours avant sa disparition. « Ce que j’ai dit à Michel a été enregistré un mois avant sa mortJ’étais content à l’idée qu’il le découvre, mais il n’a pas dû avoir le temps de le lire (…). A-t-il tout lu ? Je n’en sais rien. »il a expliqué.
Les secrets de Thierry Lhermitte sur Michel Blanc
Ce vendredi 22 novembre, Thierry Lhermitte était invité à
Télématin pour discuter de la sortie de cette œuvre. L’occasion pour le comédien de revenir sur l’immense carrière de Michel Blanc. Concernant son rôle emblématique Jean-Claude Dusse dans Le bronzél’acteur a expliqué :
« Michel était un peu énervé trente ans plus tard. En fait, ça lui a un peu pesé.
Le présentateur de France 2, Damien Thévenot, a alors demandé : « Il était ennuyé d’être piégé dans ce personnage ? ». Ce à quoi Thierry Lhermite a répondu franchement : « Il n’était pas enfermé. Il faisait des putains de films. Donc il n’était enfermé dans rien du tout. »
« C’est tellement beau et fou. »
Thierry Lhermitte est également revenu sur le parcours emblématique de son ami : « C’est si beau et c’est fou ce qu’il a écrit. Ce qui est drôle dans le livre, c’est que nous l’avons écrit séparément. Mais personne ne savait ce que les autres avaient écrit. »il a révélé.
Il y a quelques jours, l’acteur revenait avec émotion sur la mort de Michel Blanc dans Le Parisien. « Je n’ai pas dormi, j’ai lu tout ce qu’il avait écrit, ça m’a bouleversé« se souvient-il, ému. Il a également évoqué la discrétion de la troupe du Splendid suite à son décès :
« Nous ne voulions pas. Nous ne sommes pas obligés de partager notre douleur. Je ne ressens aucune obligation d’aucune sorte, surtout quand il fait chaud », a-t-il conclu.