19h32 – Sur quel pont peut-on assister au spectacle ?
Tous les spectateurs directs de la cérémonie d’ouverture n’auront pas le même spectacle devant les yeux. Pour avoir une chance d’assister à la prestation d’Aya Nakamura, il faudra se placer à proximité du Pont des Arts.
18h53 – Répétitions pour une semaine
Bien que l’organisation et le déroulement de la cérémonie d’ouverture soient tenus secrets par le comité d’organisation des Jeux, on peut imaginer que la prestation d’Aya Nakamura sera grandiose au vu de la nombreuse équipe technique observée aux répétitions.
18:28 – Aya Nakamura devrait être accompagnée par la Garde Républicaine
La chanteuse devrait être accompagnée par la Garde républicaine et les choristes du Chœur de l’armée française lors de sa prestation, selon les informations de L’Équipe. Elle devrait interpréter Pour moi formidable et La bohème de Charles Aznavour.
18:16 – Aya devrait chanter deux chansons de son répertoire
Aya Nakamura devrait interpréter un texte de Charles Aznavour, mais elle devrait aussi faire danser le public olympique en chantant deux de ses tubes, selon certaines rumeurs. Les chansons Djadja et Pookie pourraient en effet faire partie de la playlist de la cérémonie des JO de Paris.
17:26 – Nous savons où Aya Nakamura chantera lors de la cérémonie d’ouverture !
La rappeuse devrait interpréter plusieurs de ses chansons ainsi que La Bohème de Charles Aznavour lors de la cérémonie d’ouverture, ce soir sur le Pont des Arts, selon France 2. Situé au centre de Paris entre le Louvre et l’Institut de France, où se réunissent les membres de l’Académie française, le Pont des Arts est connu dans le monde entier comme le pont des amoureux, puisque jusqu’en 2015 les couples y attachaient un cadenas symbolisant leur amour. Il a depuis été retiré pour des raisons de sécurité.
16:32 – Nakamura s’en prend à Aznavour, la polémique ravivée ?
Après les nombreuses critiques qui circulent depuis des mois autour du choix d’Emmanuel Macron de faire chanter Aya Nakamura en ouverture des Jeux olympiques, l’annonce officielle de sa présence pourrait une nouvelle fois rallumer les braises. Pour rappel, en mars dernier, le collectif identitaire Les Natifs, qui se décrit comme des « jeunes Parisiens fiers et enracinés », avait installé une banderole à Paris, sur laquelle était écrit : « Y’a pas moyen Aya. Ici c’est Paris, pas le marché de Bamako. »
Ce à quoi Aya Nakamura elle-même a répondu sur les réseaux sociaux, sortant de sa réserve : « On peut être raciste mais pas sourd. C’est ça qui fait mal ! Je deviens un sujet d’État numéro 1 dans les débats etc. mais que vous dois-je vraiment ? Kedal (sic) ». La polémique avait atteint la sphère politique : « La violence des propos racistes et sexistes contre Aya Nakamura sous le faux prétexte de ne pas l’apprécier artistiquement confine au harcèlement national contre une jeune femme ! Et le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit », écrivait Marlène Schiappa, alors secrétaire d’État à l’Économie sociale et solidaire et à la Vie associative.
GrP1
