» Google est une, deux, trois fois monopole », a insisté le procureur du DoJ Aaron Teitelbaum auprès de la juge Léonie Brinkema lors des plaidoiries finales des deux parties. Selon lui, Google, présent tout au long de la supply chain de la publicité digitale, a « truqué » l’ensemble du secteur depuis plus d’une décennie, privilégiant ses propres produits par rapport aux autres.