« Toutes les victimes d’agressions sexuelles et de viols (…) sont ici bafouées, déplore Osez le féminisme 17. Tous ceux qui hésitent à raconter leur histoire, tous ceux qui n’osent pas porter plainte, tous ceux qui gardent la blessure et la culpabilité pour eux et se sentent insultés par ces vivas (sic). Que leur reste-t-il à dire à ces femmes forcées, battues, trompées, droguées, violées ? «Rien», crie le public du stade, acclamant celui qui est toujours accusé de viol aggravé car commis en réunion. »