Cantor d’un « projet ambitieux », le ministre de la Justice considère dans une interview avec parisien que « aucun français ne pardonnerait » à son camp « d’avoir plusieurs candidats au premier tour ».
Deux ans avant la date limite, Gérald Darmanin accélère. Quelques jours après avoir été favorable à une primaire pour désigner celui qui apportera au « mieux » Les couleurs de son camp en 2027, le ministre de la Justice de moins en moins cacher ses ambitions: « D’une manière ou d’une autre, je participerai à l’élection présidentielle », Il dit dans une interview publiée mercredi soir par Le parisien .
S’il veut« Un seul candidat s’impose naturellement » Depuis, comme Nicolas Sarkozy dans la première moitié des années 2000 ou Emmanuel Macron en 2016-2017, il n’exclut pas « Un processus ministériel » Si tel « La personnalité ne parvient pas ». « Aucun français ne nous pardonnerait d’avoir plusieurs candidats au premier tour »insiste sur l’ancien ministre de l’Intérieur. Étant donné les ambitions qui agitent déjà le camp présidentiel – Édouard Philippe est déjà sur la ligne de départ, Gabriel Attal consomme son frein … -, Gérald Darmanin redoute plus que toute dispersion de candidats (et donc de voix) au premier tour au premier tour de la présidentielle: « Ce serait un certain échec ».
Une observation évidente qui pousse le gardien des sceaux pour appeler un « Open primaire, le plus large possible ». Y compris avec son ancienne famille politique, les républicains (LR). « Nous avons, bien sûr, une vocation pour travailler ensemble »Il souligne-t-il. Balancer un pays qui « N’a jamais été aussi juste » et le faible poids électoral du mouvement a refusé il y a dix ans par Nicolas Sarkozy, le fonctionnaire élu des juges de Tourcoing (Nord) qui« Aucune fête ne pourra gagner seul ». Et pour atteindre un peu plus vers LR, qui est retourné aux affaires dans les gouvernements Barnier et Bayrou: « Il est de notre responsabilité collective de continuer à travailler ensemble. »
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L’opportunité pour Gérald Darmanin d’appeler le droit de construire « Une plate-forme programmatique commune » avec le bloc central. Cela permettrait de se reproduire au niveau électoral l’architecture politique à l’œuvre au sein du gouvernement entre les macronistes et la LR. «Il est temps de travailler en bas. (…) Ce qui devrait nous intéresser à ce stade, c’est de penser aux idées afin que les Français puissent se retrouver »Ajoute le prédécesseur de Bruno Retailleau en place Beauvau. Cantor de« Idées radicales, mais pas extrémistes », Pour sa part, il entend « Construisez un projet ambitieux pour mon pays ».
Sera-t-il lui-même candidat? Assurer pas « Souhait une guerre des chefs »Gérald Darmanin dit qu’il a l’intention de « Portant un certain nombre de propositions ». Des idées qui, pour la lire, devront tourner la page du macronisme et « en même temps » attenant. «Cela correspondait à une attente légitime des Français. Mais je ne suis pas tout à fait certain que cela correspond à la société d’aujourd’hui »Il lâche. Autant que « La société française s’attend à des politiques de position ferme et claire. »
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