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« On en avait 24, il nous en reste 5 »

« On en avait 24, il nous en reste 5 »

Le mystère est résolu mais le problème demeure pour ces éleveurs de Saint-Georges (Belgique) qui n’ont que leurs yeux pour pleurer. En quelques semaines, ils ont perdu la quasi-totalité de leur élevage de chats de race. Depuis février dernier, ils assistent impuissants à un pillage de grande ampleur. « Ma femme a entendu du bruit pendant la nuit, et le matin nous avions un chat de moins… »explique David au média belge DH.

« Il ne nous reste plus que nos vieux chats de gouttière »

Qu’est-ce qui a bien pu décimer ainsi cette race de chats siamois ou birmans ? Le coupable a finalement été démasqué et il est en réalité assez effrayant.

Le couple l’a découvert par hasard, derrière la maison, perché près d’un puits : « Il était à trois mètres de la façade (…) On a réussi à avancer jusqu’à 1,50 mètre. ». Le « il » en question avait un regard perçant, des griffes acérées et une stature imposante : un grand-duc, un oiseau de proie réputé comme un « super prédateur ».

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Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en l’occurrence, l’intrus a fait honneur à cette réputation puisqu’il a littéralement décimé l’élevage de David et Isabelle. « Nous en avions 24, il nous en reste cinq. Il ne nous reste plus que nos vieux chats de gouttière qui restent à la maison. ».

« C’est pour ma fille que je m’inquiète. »

Le couple d’éleveurs – parents d’une fille de deux ans et demi – n’est pas en paix, la chouette continue de rôder : « Ce n’est pas que l’animal me fait peur, c’est plus pour ma fille que je m’inquiète »concède Isabelle.

Une crainte compréhensible mais a priori injustifiée : la chouette ne chasse que la nuit et ne s’intéresse qu’aux petits mammifères, comme les chatons. Ce qui dans le cadre de cette affaire, n’est plus à démontrer…

Chance de la nouvelle, France en direct avait déjà récemment fait écho à une histoire assez similaire, cette fois en Côte d’Or. Le 29 avril, un grand-duc pénètre dans un poulailler et provoque la panique parmi les poules qui s’entassaient les unes sur les autres pour s’en échapper. Pas moins de 800 gallinacées avaient péri.

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