OM : Rabiot donne déjà une leçon à ses coéquipiers
Entré en jeu à Strasbourg (défaite 1-0) dimanche, Adrien Rabiot a fait ses débuts avec l’Olympique de Marseille lors de la 6e journée de Ligue 1. Le milieu de terrain a passé près d’une demi-heure sur le terrain et s’est déjà montré encourageant, voire excitant, panneaux pour les supporters.
Adrien Rabiot n’a pu éviter la défaite à Strasbourg, la première de l’Olympique de Marseille cette saison. Mais sa performance individuelle n’est pas passée inaperçue. Pour ses débuts sous les couleurs marseillaises, le milieu arrivé libre est apparu dès la 62e minute pour pallier la blessure d’Ismaël Koné. Résultat, malgré une intervention tardive qui lui a valu un carton jaune, l’ancien joueur du Paris Saint-Germain a impressionné.
👀 | Première entrée en jeu pour Adrien Rabiot sous ses nouvelles couleurs 🔵⚪️ #CAOMS pic.twitter.com/2UkL2W5iC6
–DAZN France (@DAZN_FR) 29 septembre 2024
Sa précision technique s’est notamment manifestée dans son ouverture en profondeur pour l’attaquant Neal Maupay, qui s’est finalement heurté au gardien Djordje Petrovic. Pas de passe décisive pour le moment, mais déjà de jolis compliments du journaliste Johan Honnet. » La différence avec les autres joueurs, c’est à dire que lorsqu’il entre, même lorsqu’il se retrouve parfois du côté droit, qui n’est pas son côté, son ballon accroche et l’intensité qu’il met dans ses contrôles, sa manipulation du ballon balle et son mouvement vers l’avant pour ensuite déclencher des passes, ça fait immédiatement la différence », a commenté le journaliste de BFM Marseille Provence.
« Vous regardez et vous apprenez »
» La passe qu’il fait pour Neal Maupay, je ne sais pas si c’est en une ou deux touches, c’est un geste habile qui est parfaitement dans la trajectoire de Maupay. C’est un caviar pour Maupay, je crois que c’est son premier ou un de ses premiers couillesse souvient Johan Honnet. Donc ça fait toute la différence, c’est une différence de classe. Pour de bon, je veux seulement voir Hojbjerg et Rabiot au milieu, on n’en parle plus, on ferme la boutique et les autres regardent et tu apprends. » Quand l’international français sera à 100 %, la concurrence aura en effet du mal à exister.