L’entraîneur espagnol de l’Olympique de Marseille accuse le coup, et ne comprend pas comment son équipe a pu être aussi malchanceuse pendant deux matches.
Des buts refusés par la VAR, une nette domination non concrétisée, un résultat pas à la hauteur des espérances… Trois jours après son élimination en Ligue des champions face au Panathinaikos, l’Olympique de Marseille a vécu le même genre de cauchemar vendredi soir à Metz (2- 2), en ouverture de la deuxième journée de Ligue 1. Et le coup est dur à encaisser pour Marcelino.
« Tous les éléments se sont opposés à nous. Nous avons tiré 22 fois et créé plus de dix occasions nettes, a relevé le sélectionneur espagnol en conférence de presse, relaie Le Phocéen. Du côté de notre rival, deuxième tir, but, puis troisième tir, but. Nous aurions dû gagner, et par une large marge. Le football est défini par le succès. Ça nous a manqué, c’est comme ça. »
Pour ses débuts à la tête de l’OM, l’ancien entraîneur de Valence et de Villarreal n’est pas épargné par les coups du sort. « J’ai vécu peu de situations comme celle-ci dans ma carrière, avoue-t-il, éberlué. En trois jours, on a joué deux matches où à chaque fois, on aurait dû largement gagner, en marquant beaucoup de buts. C’est incroyable qu’on n’ait pas gagné ce match et qu’il y ait des circonstances similaires, tellement de malchance, sur ces deux rencontres. »
Pourtant, l’entraîneur olympien estime que son équipe est « sur le bon chemin ». « Nous avons pu mettre le coup que nous avons reçu mardi derrière nous. Je suis fier de mes joueurs. » a-t-il conclu.
