Si l’Olympique entend céder plusieurs éléments en manque de temps de jeu cet hiver, notamment pour renflouer ses caisses, le premier animateur du mercato marseillais n’est pas celui attendu. Alors que Bamo Meïte, Amine Harit, Chancel Mbemba, Ruben Blanco et Lilian Brassier sont en salle d’attente, un certain Pau Lopez devrait (encore) changer d’air.
Le dernier rempart espagnol, déclassé cet été avant même les arrivées de Geronimo Rulli et Jeffrey De Lange, avait été prêté avec option d’achat (6,5M), non automatique, à Girona, sa ville natale. Problème, au lieu de se relancer chez lui, Pau Lopez n’a plus vraiment plongé sur l’herbe fraîche… hormis aux entraînements. Relégué dans l’ombre d’un autre Argentin, Paulo Gazzaniga, Lopez n’a disputé que 120 minutes depuis le début de saison, en coupe du Roi face à Logrones… pour une élimination à la clé (aux tirs au but, sa spécialité) face à cette écurie de 4e division.
Le marché tombe à point nommé pour Pau Lopez, qui souhaite se relancer. En quête d’un remplaçant à Brice Samba, en partance pour le Stade rennais (même si une guerre d’ego entre les dirigeants des deux institutions freine, à cette heure, le deal), et après avoir essuyé un échec dans le dossier Jean Butez (Royal Antwerp), le RC Lens a jeté son dévolu sur l’ancien de la Roma. Parmi les candidats qui sont venus aux renseignements, les Sang et Or font aujourd’hui figure de grands favoris. Même si rien n’est encore acté, la rupture du prêt en faveur de Girona est bien engagée selon les dirigeants marseillais.
La suite logique mènerait alors Lopez dans le nord de la France, où l’OM souhaite le céder en prêt avec option d’achat, et espère qu’il se mette en valeur, au contraire de sa pige en Espagne. Pour l’instant, le RCL ergote sur la prise en charge du salaire, autour de 300 000 euros mensuels, tandis que l’état-major olympien n’envisage pas de débourser le moindre centime pour un joueur qu’il n’aura plus sous la main. Si les négociations n’aboutissent pas, l’OM entend laisser Pau Lopez finir la saison à Girona.
Côté arrivée, Luiz Felipe (27 ans) a posé pied en Provence ce lundi midi. Accueilli par Fabrizio Ravanelli, conseiller institutionnel, et une poignée de supporters à l’aviation générale de Marignane, l’Italo-brésilien, laissé libre par Al-Ittihad (Arabie saoudite), a passé une première partie de sa visite médicale ce lundi après-midi avant de la boucler définitivement mardi matin. Pour rappel, l’ancien défenseur de la Lazio doit s’engager en faveur de la maison ciel et blanc jusqu’en juin 2026.
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