Pour paraphraser un entraîneur italien qui officie dans le sud de la France, au moins, cette fois, il n’a pas mentionné de démission possible après la défaite contre l’objectif, la première à domicile depuis celle contre Auxerre le 8 novembre, un soir lorsqu’un mauvais parfum de crise a emballé les couloirs du vélodrome. Samedi, entre 23h30 et minuit, l’état d’urgence n’a pas été déclenché et le ton n’a pas soulevé, si nous sauf le président portable de Tom Pouilly crachant « les Corons » non loin de Roberto de Zerbi, une réponse lointaine à une chambre de Neal Maupay après la première étape.