Eddie Nketiah est dans le viseur de l’OM lors de ce mercato estival. Le joueur a d’ailleurs trouvé un accord avec le club phocéen, mais le transfert n’est pas encore finalisé. Arsenal demande en effet une grosse somme d’argent pour vendre son attaquant.
L’Olympique de Marseille fait des ravages sur ce mercato estival. Le club de la Canebière espère alléger au maximum son effectif dans les prochains jours et plusieurs départs sont prévus. Ismaïla Sarr, Jonathan Clauss, Azzedine Ounahi sont les dossiers les plus chauds du moment. Des départs qui auront ensuite pour conséquence de permettre à l’OM de dégager des fonds pour boucler d’autres dossiers. Après Greenwood, Brassier et Koné, Marseille s’attaque à Eddie Nketiah, l’avant-centre d’Arsenal, pour lequel l’OM a manifesté un intérêt il y a plusieurs jours. L’OM a déjà trouvé un accord contractuel avec le joueur, mais le dossier n’est pas encore clos car les Gunners ne veulent pas brader leur joueur sous contrat jusqu’en 2027. Le club formé par Mikel Arteta demande une grosse somme pour libérer Nketiah.
Arsenal demande 60 millions d’euros pour Nketiah
Eddie Nketiah est ouvert à un départ d’Arsenal…
Les discussions continuent entre Arsenal et Marseille 🗣️ pic.twitter.com/kSfWGum0ju
— Sky Sports Premier League (@SkySportsPL) 23 juillet 2024
Les Gunners ne font pas les choses à moitié puisque le prix d’achat d’Eddie Nketiah, qui a vu son temps de jeu diminuer la saison dernière malgré la belle 2e place d’Arsenal en Premier League, est de 60 millions d’euros selon le média HITC. Un montant que l’OM n’est pas enclin à payer. La source précise que malgré la différence entre ce que demande l’équipe londonienne et ce que veut payer l’OM, les négociations ne sont pas rompues et le club phocéen espère boucler cette opération. Les Gunners, de leur côté, ne sont pas pressés puisque d’autres joueurs sont sur le point d’être vendus comme Emile Smith-Rowe ou Reiss Nelson. Marseille devra sans doute accélérer son allègement pour espérer enregistrer cette signature, mais le dossier traînera sans doute en longueur. À moins que Pablo Longoria ne trouve la formule magique dans les négociations.
