Nemanja Matic contre Denis Zakaria pendant Monaco – OL (Photo de Clement Mahoudeau / AFP)
Lorsque tous les concurrents se sont effondrés, OL n’a pas bénéficié de ces fausses passes. Malgré une bonne première période, le Lyonnais a échoué en seulement six minutes. La Ligue des champions directes est désormais hors de portée.
Il n’y avait que 5,8% de chances d’être en Ligue des champions avant le 33e jour de la Ligue 1. Il y en aura beaucoup moins après cet avant-dernier jour pour l’OL. Il y a toujours un petit espoir, mais la magie attendue n’a pas fonctionné sur Monaco Ce samedi soir. Et c’est surtout la faute du Lyonnais et de n’importe qui d’autre. Parce que dans les scénarios improbables qui avaient fleuri tout au long de la semaine, un a eu lieu en ce 33e jour.
Septième, leOl devait compter sur Faux de Nice, Strasbourg et Lille pour toujours croire en la Ligue des champions. Et c’est ce qui s’est passé ce samedi soir. Malheureusement, il était également nécessaire que les joueurs de Paulo Fonseca En même temps et c’est avant tout là que la chaussure est des pinces. De retour au mur, OL n’a pas réussi à prendre le meilleur parti en tant que Monaco et signe une 11e défaite cette saison (2-0). Celui de trop et qui met fin aux rêves de C1.
Grosses opportunités en première mi-temps
Dans ce duel européen, la bonne opération est avant tout pour les mongasques qui valident leur future participation à la coupe aux grandes oreilles. Deux destinations différentes et pourtant les débats ont été équilibrés pendant une heure. OL a également commencé cette réunion, sous les yeux de John Textor. Une première tentative compliquée de Lacazette (7e) a montré les désirs d’élever la tête malgré l’absence dans les onze de Rayan Cherki.
Sur le banc, le numéro 18 manquait offensivement, car il a raté un peu de magie pour déstabiliser le bloc de mongasque. Cependant, en l’espace de deux minutes, le Lyonnais a eu deux grandes occasions d’ouvrir le score. D’abord sur un comptoir parfaitement conduit, mais mal conclu par Tessmann (11e) puis sur une forte frappe de Lacazette repoussée par Kohn (12e). Dans une première mi-temps équilibrée, la frappe roulée de Fofana a créé un frisson dans Louis II (32e) sans le saut de serrure …
Mené par des erreurs individuelles
Sans dire qu’Ol avait permis à sa chance de passer, il a de nouveau été trahi par des erreurs individuelles. Beaucoup plus impactant sur le retour des vestiaires, Monaco a accentué son pressage et ce fruit porté sur un col pas assez de Veretout à Matic. Akliouche en a profité pour lancer Minamino qui a fixé Caleta-Car, puis a trompé Perri avec un coup croisé (1-0, 62e).
Une première erreur qui a conduit à une seconde avec un marquage laxiste de Tessmann sur Zakaria. La tête du capitaine monégasque a réussi une pause en six minutes (2-0, 68e). La goutte de trop pour un collectif qui n’y est pas mentalement depuis longtemps. Ce ne sont pas les entrées de Cherki Et Mikautadze Qui a changé la physionomie de ce match qui était un long chemin de la croix au dernier quart d’une heure. Fortement la fin de la saison. Ou non …