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« On sait très bien que Brest dérange », la colère des Bretons dirigée contre les instances

L’issue d’un match au scénario rocambolesque (victoire 4-3 de l’OL) et entaché de nombreuses polémiques liées à l’arbitrage, au Groupama Stadium, a suscité de vives réactions de la part des dirigeants brestois, dont celle du directeur sportif Grégory Lorenzi, qui n’a pas réagi. N’hésitez pas à remettre en question l’impartialité des arbitres qui, selon lui, privilégieront les grosses équipes du championnat dans la dernière ligne droite.

« On sait très bien que Brest peut être inquiétant. » Le directeur sportif du Stade Brestois Grégory Lorenzi a eu du mal à cacher sa frustration dimanche soir après la défaite de son équipe (3-4) à Lyon. Le dauphin du Paris Saint-Germain menait 3-1 en seconde période et finit par s’incliner 4-3 au terme d’un scénario fou entaché de décisions controversées défavorables aux hommes d’Eric Roy. Comme Stéphanie Frappart douze jours plus tôt, qui avait déjà fait pencher la balance en faveur de l’OL, en Coupe de France, Mathieu Vernice s’est trompé dans ses choix à des moments cruciaux du match.

« C’est l’histoire de la Ligue 1, les grandes équipes doivent être au sommet… »

Après un quart d’heure de jeu, une tête de Steve Mounié a été déviée par la main de Jake O’Brien alors que le ballon filait au fond des filets. L’arbitre du match n’a pas bronché, et le VAR n’a rien trouvé à redire à cette décision prise sur le terrain. « En première mi-temps, on a eu une tête de Mounié et un adversaire qui a visiblement dévié de la main. Mais l’arbitre n’a pas fait appel au VAR. En fin de seconde période, il fait appel au VAR. Il faut absolument réguler l’usage du VAR, sinon on va se retrouver avec ces dysfonctionnements. Cela fera l’objet d’une lettre que j’enverrai au président de la Ligue. Il faut le réguler, sinon le VAR ne sert à rien. s’est plaint le président du Stade Brestois Denis Le Saint, dans les colonnes du quotidien L’Equipe.

Les faits litigieux se sont multipliés et cette accumulation de décisions contestables a fini par générer chez les dirigeants brestois une méfiance excessive qui confine à la paranoïa à l’égard de l’instance arbitrale. « Ce soir, l’arbitre a penché du côté de son côté, celui de Lyon. La réception de Monaco (ndlr, 3e de Ligue 1, à un point du Brestois) ne sera pas facile, avec, encore une fois, un léger avantage pour leur équipe, car Je sais très bien que les arbitres aujourd’hui sauront quoi faire lors des derniers matches, a estimé Grégory Lorenzi dans L’Equipe. C’est l’histoire de la Ligue 1, les grandes équipes doivent être au sommet. Nous sommes les plus petits, personne. peut m’empêcher de penser cela et je ne pense pas me tromper. Quand on voit les décisions, on se remet en question.

S’il partage avec ses dirigeants ce sentiment d’avoir été « malmené par des décisions défavorables », l’entraîneur du Stade Brestois Eric Roy est resté lucide. « On ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes », a-t-il reconnu en conférence de presse, soulignant que son équipe avait « du mal à gérer ses émotions ». « C’est évident que de temps en temps il faut pouvoir clôturer un match et nous n’avons pas pu le faire ce soir. Ce sont nos axes d’amélioration », a-t-il conclu.

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Cammile Bussière

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