Une affaire digne d’un roman d’espionnage. Jan Marsalek, ancien numéro deux de l’étoile déchue de la fintech allemande Wirecard, fait l’objet de nouvelles accusations graves pour son rôle d’espion présumé au service de la Russie.
Les preuves de son rôle dans l’orchestration des activités d’espionnage russes dans son pays d’origine, l’Autriche, et dans la direction d’agents doubles au sein des services de renseignement autrichiens s’accumulent. Au point que Jan Marsalek aurait pu être « l’un des agents européens les plus puissants » du Kremlin, avance le « Financial Times ».