En juin, Emmanuel Macron avait vendu sa dissolution comme un accélérateur de « clarification » » politique. C’est finalement lui, trois mois plus tard, qui y parviendra en refusant de nommer une personnalité de gauche à Matignon, préférant un élu LR cautionné par l’extrême droite. Pour mieux signifier l’emprise du RN sur cette coalition qui ne dit pas son nom, son président Jordan Bardella a même annoncé, ce week-end, qu’il placerait Michel Barnier « sous surveillance démocratique ».
La clarification d’Emmanuel Macron pourrait donc aboutir à un système politique similaire à celui d’avant 2017, avec un clivage droite-gauche clair, à la différence que le cordon sanitaire entre la droite et son extrême s’estompe… « Désormais, les choses sont claires : nous sommes la seule opposition à la politique de destruction sociale qui sera menée par Michel Barnier et son futur gouvernement puisque tous les autres le soutiennent ou l’ont cautionné, estime le sénateur PCF Ian Brossat. La droite et le RN devront être tenus responsables des politiques mises en œuvre par le futur gouvernement. »
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