La détermination de la sanction de l’observation de la culpabilité est « incompréhensible », défend le ministre de l’Intérieur tandis que le projet de loi de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal pour s’attaquer au juge des mineurs arrive à l’Assemblée.
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Le projet de loi réalisé par Gabriel Attal qui vise à durcir la justice des mineurs avec des apparences immédiates ou l’interrogatoire de l’excuse minoritaire « Dans la bonne direction », Défend le mercredi 12 février sur la France Inter le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Le texte, soutenu par le gouvernement, est examiné mercredi à l’assemblée.
« Aujourd’hui, nous enfermons les mineurs violents dans les voyages de délinquance », Assure Bruno Retailleau qui fait campagne pour des peines de prison courtes et immédiates. « Aujourd’hui, nous nous attendons à une histoire de 10, 20, 30 avant la chute de la sanction. » « Rien dans nos droits fondamentaux ne dit que nous devons avoir une césura entre le moment où vous dites » vous êtes coupable « et le moment de la sanction »défend le ministre de l’Intérieur. « C’est incompréhensible ».
«Nous devons assumer de courtes peines de prison d’une semaine ou deux semaines à compter du premier crime grave, insiste sur Bruno Retailleau, PC’est ce qui est éducatif « .
« Nous avons des enfants qui ont perdu une empathie, qui peut tuer et quelques minutes après avoir bu sur la terrasse d’un café. »
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieurà la France inter
« La prison, l’arrêt, est essentielle », Hammers Bruno Retailleau qui veut « Abolir la loi de Belloubet 2019 » qui interdit en France « De vraies peines de prison et effectuées pendant un mois ».