Non, ce ne serait pas l’accouchement, ni même se cogner le petit orteil sur le coin d’un meuble au réveil ou se couper le bout du doigt sur une enveloppe… Ce ne serait pas non plus cette terrible migraine qui, pour ceux qui en souffrent régulièrement, peut pourtant être un véritable fléau.
Et la pire douleur (selon la science) est…
L’un des problèmes de douleur les plus graves récemment mis en évidence par des chercheurs de l’Université McGill au Canada est le syndrome douloureux régional complexe (SDRC), une affection neurologique qui survient généralement après un traumatisme physique.
Les patients atteints de SDRC décrivent la douleur comme une sensation de brûlure constante, accompagnée de décharges électriques. Pire encore, cette sensation peut durer des mois… voire des années. Mais le SDRC ne serait pas non plus LA pire douleur du monde, puisque cette dernière serait à attribuer à un petit insecte, apparemment inoffensif.
En effet, selon des chercheurs de l’Université McGill au Canada, c’est la piqûre de la Paraponera Clavata qui provoque la douleur la plus atroce. Pour la petite histoire, il s’agit d’une fourmi appelée «balle de fusil« , dont la piqûre peut être comparée à l’impact… d’un coup de feu.
Mais pas de panique, vous n’aurez aucune chance de tomber nez à nez avec une fourmi Paraponera si vous habitez en France. Et pour cause, ces fourmis sont présentes en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Pas de piqûres ici, puisque les fourmis possèdent un dard (comme les guêpes) dont la piqûre est très douloureuse, et l’effet est instantané.
Son venin est composé notamment de ponératoxine (un peptide neurotoxique) et d’acide formique, avec une douleur qui irradie dans tout le membre atteint, et dont les effets peuvent durer plusieurs heures.
Rappelons que les dernières avancées technologiques, notamment en matière d’IA, pourraient avoir de réels effets bénéfiques sur notre santé. Récemment, Google a dévoilé une IA capable de diagnostiquer des maladies en écoutant simplement les sons du corps humain. Il y a quelques mois, des scientifiques de Boston ont dévoilé un algorithme d’intelligence artificielle capable d’analyser les schémas de parole des personnes atteintes de troubles cognitifs légers (MCI), capable de prédire leur progression vers la maladie d’Alzheimer avec une précision de 78,5 % d’ici six ans.
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