Dans une série de déclarations, le secrétaire général du Hezbollah, Naïm Qassem a adopté un ton menaçant envers Israël tout en réaffirmant l’autonomie de son organisation dans ses prises de décision.
« Notre patience pourrait s’épuiser avant les 60 jours prévus par l’accord, comme elle pourrait se prolonger au-delà », a averti le leader du Hezbollah, faisant référence à la période de calme relatif négociée à la frontière israélo-libanaise. Il précise que cette décision dépendra uniquement de « la direction de la résistance ».
Qassem a tenu à souligner l’indépendance stratégique de son mouvement : « C’est la direction de la résistance qui décide quand, comment et avec quelles armes résister. Personne ne doit imaginer que nous devons réagir à chaque événement. » Il a ajouté avec défi : « Quand nous déciderons d’agir, vous le verrez directement. »
Dans une perspective plus large, le chef du Hezbollah a également évoqué le rôle futur de la Syrie, suggérant que « le peuple syrien aura un rôle à jouer dans la confrontation avec Israël », laissant présager une possible extension du conflit.
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