Lorsque Guillaume Faivre est devant son petit écran, c’est pour regarder “Fort Boyard”, son émission fétiche. Lorsqu’il est devant son écran de téléphone, c’est pour voir “Lupin”, sa série préférée. Lorsqu’il est devant son écran d’ordi, le dimanche, c’est pour écrire des articles pour Puremédias.
Le journaliste s’exprime sur son nouveau rendez-vous dans l’hebdomadaire “La Tribune Dimanche” qui est aujourd’hui dans les kiosques.
Maxime Switek se fait prendre par un filet de pêche lors d’un duplex aux États-Unis © BFMTV
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Un nouveau challenge pour Maxime Switek. A partir de ce lundi 6 janvier 2025, il sera aux commandes du “20H BFM” de 20 heures à 22 heures sur BFMTV. A cette occasion, le journaliste de 44 ans a accordé une interview à “La Tribune Dimanche”.
“On va essayer de dépoussiérer ce format”
Lors de son entretien avec le journaliste médias Rémi Jacob, Maxime Switek a donné plus de détails sur cette quotidienne. “On proposera aux téléspectateurs un 20 Heures avec tous ses codes, mais en ajoutant un petit “twist”. On va essayer de dépoussiérer ce format, en sortant de la litanie classique et en amenant de la bonne humeur. Ceux qui me suivent sur BFMTV savent que même si je suis sérieux et rigoureux, j’ai toujours un peu l’oeil qui frise”, a-t-il raconté.
Celui qui a officié sur la station Europe 1 où il a occupé plusieurs cases, en tant que chroniqueur et présentateur, a poursuivi : “J’ai conscience que les invités ne connaissent pas encore ce nouveau rendez-vous. Mais notre ambition est d’aller chatouiller un peu TF1 et France 2 afin que des prises de parole importantes se fassent aussi chez nous. Et cela dans tous les domaines”.
Au cours de cette même interview, Maxime Switek a expliqué : “On veut se démarquer de ce qui se fait ailleurs. On aura une approche dépassionnée, en plaçant l’actualité et son décryptage au cœur de notre émission. L’objectif est de s’écouter et de ne pas partir bille en tête sur telle ou telle obsession. Le dialogue et le calme, c’est plutôt pas mal, non ?”.
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Concernant les audiences, l’ancien chroniqueur de l’émission « C à vous » sur France 5 a précisé : “On veut faire progresser la case. Tout ne sera pas parfait dès le début. L’avantage d’être en direct, c’est qu’on pourra rectifier les choses. Dans trois mois, le programme ne ressemblera probablement pas complètement à celui que vous verrez lundi… On y va avec beaucoup de modestie, mais bien sûr qu’on a envie d’aller chercher tous les concurrents”.
