L’équipe de France continue de se préparer pour les Jeux Olympiques qui débuteront dans moins d’une semaine. Dernier match de préparation contre l’Australie, envoyez les notes !
# France
Rudy Gobert (4.5) : Depuis qu’on lui a annoncé que les Jeux Olympiques de cyclisme sur piste se dérouleraient à Saint-Quentin, il s’entraîne principalement pour aller vite sur le parquet. Dommage que ce soit à Saint-Quentin en Yvelines.
Victor Wembanyama (6) : 17 points, 12 rebonds et 8 passes décisives, on reste sur notre faim. Mais comme sans lui, l’équipe serait aussi neutre qu’un yaourt nature, on ne va pas se plaindre.
Evan Fournier (4) : Si vous n’avez regardé que la première minute, vous êtes convaincu qu’il a fait un bon match. Un peu à l’image des adversaires de l’OM sur Canal + au début des années 2010.
Isaïa Cordinier (3) : Il a défié un dicton populaire en disant qu’il n’était pas le plus mal chaussé. Pourtant, une fois le match commencé, il semblait souvent mal en point.
Frank Ntilikina (5) : Malgré cinq points importants en fin de match, il n’a été ni l’alpha ni l’oméga. Son match a été un véritable générateur d’Hatik, une performance qui n’a vraiment pas été validée par le spécialiste : Frank Gastambide.
Matthias Lessort (6) : Comme depuis le début de la préparation, chaque entrée de l’intérieur a donné un véritable coup de fouet à l’attaque de l’équipe française. Matthias le boom offensif.
Guerschon Yabusele (7) : Le commentateur de la chaîne L’Equipe a dit qu’il était le meilleur tireur de l’équipe, on a ri et puis on s’est tu. Désolé Gueshon, on est tellement …
Bilal Coulibaly (5) : Agressif en défense, propre dans la distribution. On veut juste voir plus d’agressivité. Pour la première fois, on veut qu’il s’inspire de son coéquipier Jordan Poole.
Nicolas Batum (6): Pas vraiment vif ni spectaculaire, mais assis dans son coin, il marque quatre bombes sur cinq. Un peu comme l’oncle qu’on est content d’avoir dans son équipe quand on joue sur demi-terrain.
Nando De Colo (4) : Cinq tirs tentés, un seul marqué, Nando De Kolo Muani.
André Albicy (4) : Il a fait bouger les planches, a fait tomber certains adversaires. S’il avait été DJ, ça aurait été une belle performance.
Matthieu Strazel (6) : Un début de match de grande qualité. Comparé aux autres leaders de l’équipe, il est considéré comme une grande dynamite offensive. Un peu comme la stratégie de quelqu’un qui, pour briller, demande à ses amis de venir faire leur jogging le soir.
#Australie
Patty Mills (23) : Tout comme le numéro de maillot qu’il devrait porter en FIBA. Si, comme l’auteur de cet article, vous êtes myope, vous avez peut-être aussi parfois aperçu Allen Iverson.
Dyson Daniels (7) : Très inspiré, il n’a rien laissé traîner au sol. Le nouveau joueur des Hawks a aspiré les ballons en masse, a parfois nettoyé le rebond et surtout a mis le coup de grâce à nos espoirs à une seconde de la fin. Bon Dyson.
Josh Giddey (8) : La « star » des Bulls a été le principal artisan de la victoire de son équipe. Il a structuré l’attaque et sauvé les meubles des Boomers : Josh Giddey, des idées de génie.
Dante Exum (3) : Le petit Dante a quitté l’infirmerie, mais n’est jamais revenu en classe. Les dernières rumeurs disent qu’il se serait caché au CDI. En tout cas, si ses parents pouvaient venir le chercher…
Will Magnay (6) : On ne le connaissait pas et on a été conquis. D’abord par sa coupe de cheveux, mais aussi par sa qualité de passeur de balle.
Nick Kay (2) : De longues minutes sur le parquet pour très peu d’impact. Ce n’est vraiment pas grâce à lui que les Australiens ont Nick Kay.
Josh Green (3) : Il n’est pas aussi facile de briller en attaque quand on n’a pas une superstar à ses côtés. Il s’est notamment fait remarquer par un gros coup à l’épaule qui s’est transformé en faute offensive. Josh « Draymond » Green.
Jock Landale (2) : Un avis de recherche a été affiché à son nom, mais personne n’a demandé de rançon : Jock l’Éventré. Vous pensez que la blague est trop tirée par les cheveux ? Jock est à vos trousses.
Duo Reath (6) : Assez bon en attaque mais souvent dépassé par Wemby de l’autre côté du terrain. Ce qu’on retient surtout c’est que Fred Weis le trouve trop petit.
Joe Ingles (2) : Une notification d’une application de rencontre nous a empêché de voir toute sa prestation sur le terrain. Au moins, nous avons eu un match.
Jack McVeigh (5) : Son énorme buzzer à la fin du troisième quart-temps nous a révélé son existence. Autant dire qu’on aurait préféré ne jamais le rencontrer.
Matthieu Dellavedova (2) : Oui, il joue toujours, mais moins bien. Le cauchemar de Stephen Curry est devenu le rêve de Matthew Strazel. De Golden State à Orleans, quel regard portez-vous sur votre carrière ?
