Pour la tête de liste RN aux élections européennes, s’il faut « mettre du monde autour de la table », ce n’est pas en marge des commémorations, explique-t-il mercredi sur France Inter.
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Jordan Bardella regrette-t-il l’absence de Vladimir Poutine aux commémorations du 80e anniversaire du Débarquement allié ? « Non », répond le président du Rassemblement national (RN) et tête de liste aux élections européennes, mercredi 5 juin sur France Inter. Rien à voir avec la position de Sébastien Chenu, pourtant vice-président de son parti. Sur France 3, dimanche, celle qui est également députée RN et vice-présidente de l’Assemblée a évoqué un « rendez-vous manqué » ce qui aurait permis de mettre les Ukrainiens et les Russes « autour de la table » pour trouver le « les voies de sortie du conflit ».
« Dans un monde idéal, toutes les puissances ayant participé à l’affaiblissement du régime nazi et l’armée allemande seraient présentes pour célébrer le Débarquement. Il me paraissait compliqué, compte tenu du contexte international, d’inviter Vladimir Poutine, qui a déclenché la guerre. aux portes de l’Europe et justement pour le placer aux côtés du président ukrainien », poursuit Jordan Bardella.
Pour la tête de liste RN aux élections européennes, s’il le faut « mettre les gens autour de la table »Comme le préconise Sébastien Chenu, elle n’est pas en marge des commémorations. Il plaide pour « une conférence internationale pour la paix » à l’initiative de la France. C’est le rôle « historique » du pays « être une puissance diplomatique, qui a fait la lumière sur un certain nombre de conflits »il dit.