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En salles depuis mercredi 9 octobre, « Niki » de Céline Sallette revient sur la naissance d’une artiste autodidacte, Niki de Saint Phalle. Pour raconter une partie de l’histoire de Niki, 13 Heures retrouve l’actrice Charlotte Le Bon dans un atelier d’artiste à Montparnasse.
Outre leur ressemblance physique, Charlotte Le Bon et Niki de Saint Phalle sont toutes deux plasticiennes. L’actrice a reçu notre équipe dans un atelier à Montparnasse où elle aime venir travailler. « Je savais que certains gestes m’étaient familiers. Lorsqu’elle mélange le pigment avec de l’huile, sa façon de tenir un pinceau, lorsqu’elle utilise ses mains avec le plâtre »explique-t-elle. Charlotte Le Bon se dit touchée par « son sentiment d’imposture qui l’accompagnait au début ».
Le film se concentre particulièrement sur les traumatismes de Niki de Saint Phalle. « Je trouve un peu injuste de dire que l’art était la réponse à un traumatisme. Elle a utilisé l’art comme un outil pour pouvoir peut-être se guérir, mais j’ai l’impression que cela faisait déjà partie d’elle »souligne Charlotte Le Bon. Pour conclure la discussion, l’actrice a apporté sa boîte de pastels à l’huile avec laquelle elle travaille.
Regardez l’interview complète dans la vidéo ci-dessus