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Lou Benoist / AFP
Affaire de Bayou, Critique interne: Tondelier marin (ici le 17 décembre) et les écologistes dans les troubles
Politique – Retour aux fondamentaux. Les nuages s’accumulent depuis plusieurs jours au-dessus du parti, des écologistes et de Marine Tondelier, le secrétaire national candidat à sa réélection. La formation, habituée aux querelles d’intestin – paisibles depuis 2022 – est à nouveau voyagée par des doutes et de fortes critiques internes.
La conseillère municipale de l’opposition à Hénin-Beaumont, qui est devenue l’un des visages de l’Union de la gauche lors des élections législatives de l’été 2024, est notamment critiquée pour sa gestion de l’affaire Bayou et de sa volonté, selon ses détracteurs, Verrouiller la fête avec sa main. Tant de sujets qui provoquent des tremblements forts et des répliques sans aucun doute durables.
La charge la plus lourde est venue de Julien Bayou. Incorporé par la justice après des accusations de harcèlement moral et d’abus de faiblesse de la part de son ex-partenaire, également activiste du parti, l’ancien député de Paris déploré lors d’une conférence de presse, le jeudi 20 février, « Chilant, médiocrité, lâcheté et bassesse » gestion. Rien de moins.
Les répliques de l’affaire Bayou
Il critique notamment le toulier marin et les dirigeants de contrôleurs pour avoir lancé deux enquêtes internes contre lui, dont la dernière comprenait un appel à des témoignages adressé à 12 000 personnes, et pour avoir jamais reconnu son innocence, tandis que les enquêtes n ‘n’ont pas rendu possible la possible pour établir sa culpabilité. « » Je ne reconnais plus cette fête »Dit l’ex-Deputy, qui a quitté le mouvement.
Depuis lors, la controverse a gonflé. Plusieurs centaines de militants ont affirmé dans le mouvement qu’il formule des excuses claires à leur ancien cadre dans une lettre ouverte adressée à la direction. En réponse, les écologistes ont partagé un communiqué de presse samedi pour évoquer » regret « , Critiquer le » couverture excessive de média »De l’affaire, mais sans faire avancer le « Excuses » revendiqué par toute une frange du mouvement.
Pas assez pour apaiser les tensions. Au contraire. Selon les informations de AvisPlusieurs dirigeants se préparent à démissionner de la direction pour protester contre la direction de cette affaire, et les termes encore utilisés par l’écologique dans leur communiqué de presse ce week-end.
C’est Hélène Hardy, figure historique de l’écologie politique depuis les années 1970, et Ghislaine Senée, sénatrice des Yvelines, insérée dans le parti depuis 2010. Les deux souhaitent quitter le bureau national pour protester en particulier contre l’absence remise en question après le licenciement qui est rejeté par le licenciement qui a le licenciement Julien Bayou en a bénéficié dans ce cas. Cas dans lequel il prétend avoir « Tous perdu ».
Ces départs, s’ils étaient confirmés, seraient autant de nouveaux galets dans la chaussure de toulier marin, qui fait face à la fronde de ses concurrents internes pour le Congrès, organisé fin avril depuis quelques jours. Sur sa méthode, mais aussi sur sa stratégie politique que certaines personnes jugent illisible.
Critiques internes
Le responsable élu local a le soutien de 1 200 personnalités, notamment les anciens candidats à l’environnement de la présidence Yannick Jadot, Eva Joly et Noël Mamère, et de nombreux maires des villes environnementales. Mais plusieurs de ses adversaires, et en particulier les trois candidats qui recherchent le chef du parti, l’ex-dépeupy Karima Delli, le représentant élu Bordeaux près de Sandrine Rousseau Harmonie Lecerf et le maire adjoint de Paris Florentin Letissier, ont envoyé des lettres à Déplore « Le manque d’équité et de pluralisme » en termes de participation au Congrès.
Ils dénoncent en particulier la récente modification des règles électorales qui les empêchent, selon eux, de percevoir le nombre de signatures nécessaires pour soumettre une contribution ou pour être candidat aux divers postes du Bureau exécutif.
Les nouvelles modalités « Semble avoir été sur mesure pour consolider la poignée » du courant de tondelier marin, écrit Karima Delli, qui menace de prendre « Les dispositions légales nécessaires pour contester la légitimité » du processus. En d’autres termes: pour traduire le cas en justice. « Les conditions de tenue du Congrès constituent une profonde trahison de l’ADN de notre parti par la direction en place »Écrit également Florentin Letissier.
Dans son propre actuel, Marine Tondelier est également l’objet de critiques du maire de Grenoble Éric Piolle, dont elle dirigeait la campagne lorsqu’il était candidat pour la primaire de 2020. Ce dernier, candidat à la parole de la fête, a dit que c’était « Banned » Listes de militants du courant de la marine pour l’empêcher d’obtenir le nombre de signatures nécessaires. Il déplore « Cette façon d’éjecter ceux qui apporteraient des nuances à la stratégie ».
En réponse, l’entourage du secrétaire national bloque. « La réforme des statuts, voté principalement (74%), visait à rompre avec la balkanisation artificielle de notre parti »défend le député du député David Cormand, un ami proche de Marine Tondelier, qui souligne que la difficulté de certains à obtenir un certain nombre de parrainages suffisants est « Symptomatique de leur division ». La bataille devrait durer.
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