Nasser Al-Khelaïfi entendu comme partie civile dans l’enquête sur les barbouzeries
Le président du Paris Saint-Germain Nasser Al-Khelaïfi a été entendu comme partie civile dans l’enquête sur les barbouzeries le 13 mai.
Le président du Paris Saint-Germain Nasser Al-Khelaïfi a été entendu le 13 mai comme partie civile dans l’enquête sur les méfaits dont sont soupçonnés deux anciens membres du club, un lobbyiste et des policiers, a-t-on appris jeudi de sources proches. au cas, confirmant les informations de L‘Équipe . « La mafia, la montagne de mensonges et de manipulations qui existe depuis deux ans, s’effondre enfin »a réagi une source proche de M. Al-Khelaïfi.
« Nous confirmons l’audition de Nasser Al-Khelaïfi comme victime et que nous avons déposé de nouvelles plaintes », ont réagi ses avocats, MM. Renaud Semerdjian et Francis Szpiner. Selon l’entourage du «NAK», « ces agissements criminels n’ont aucun lien avec le PSG ».
La longue histoire a éclaté à l’automne 2022, d’abord sur des soupçons de transmission, notamment au PSG, d’informations confidentielles sur certaines personnes issues de dossiers de police.
Dans le cadre de cette information judiciaire menée depuis septembre 2022, notamment pour trafic d’influence et corruption, Jean-Martial Ribes, ancien directeur de la communication du club, Malik Nait-Liman, ancien référent supporters du club et ex-policier du club. des services de renseignement, des policiers et le lobbyiste franco-algérien Tayeb Benabderrahmane.
Chantage contre Al-Khelaïfi
Ce dernier est soupçonné d’avoir un temps fourni aux membres du club des informations confidentielles obtenues par des policiers, et d’avoir détenu des informations compromettantes pour le Qatar et Nasser Al-Khelaïfi, le patron du club, qui auraient pu être utilisées à des fins de chantage. .
« NAK » a depuis annoncé une plainte pour diffamation contre lui. Ses avocats affirment également avoir porté plainte ce mois-ci contre
Le lobbyiste, qui affirme avoir été détenu arbitrairement au Qatar pendant six mois début 2020, a de son côté obtenu l’ouverture d’une information judiciaire pour torture, enlèvement et séquestration.