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Moumbagna, Onana et Meïté ont été « poursuivis » par leurs agresseurs, révèle le parquet de Marseille

Moumbagna, Onana et Meïté ont été « poursuivis » par leurs agresseurs, révèle le parquet de Marseille

Une communication du parquet de Marseille révèle ce mardi que les trois joueurs de l’OM, ​​Faris Moumbagna, Jean Onana et Bamo Meïté, ont été « poursuivis » par leurs agresseurs qui ont « tiré » à plusieurs reprises sur leurs voitures lors de la violente attaque dont ils étaient les victimes. cible, dans la nuit de dimanche à lundi.

Les premiers éléments de l’enquête sont glaçants. Au lendemain de la violente attaque orchestrée contre les voitures conduites par les joueurs de l’OM, ​​Faris Moumbagna, Jean Onana et Bamo Meïté, le parquet de Marseille a fourni quelques informations sur les circonstances, dans un communiqué transmis à BFMTV. Et ceux-ci laissent penser que les trois hommes ont échappé au pire. Les faits se sont déroulés dans la nuit de dimanche à lundi peu après que les Marseillais aient récupéré leurs voitures respectives au centre d’entraînement au retour du Havre où l’équipe avait gagné (1-2).

Une enquête pour « tentatives d’homicide »

« Dans la nuit du 19 au 20 mai 2024, alors qu’ils circulaient chacun dans leur voiture dans le 11ème arrondissement de Marseille, à proximité du centre d’entraînement Robert Louis-Dreyfus, trois joueurs de l’Olympique de Marseille ont été poursuivis par des personnes circulant à bord d’un véhicule de sur lesquels ils ont tiré à plusieurs reprises. Des impacts ont été constatés sur deux des véhicules des trois joueurs», indique le communiqué du parquet.

Bamo Meïté, qui circulait dans un véhicule du club à quelques longueurs derrière ses deux partenaires, a également été visé par les malfaiteurs, selon le procureur de la République. Le défenseur était dans un premier temps présenté comme épargné par ces violences. Le parquet de Marseille a ouvert une enquête en flagrant délit pour « tentatives d’homicide » confiée à la Division de la délinquance organisée et spécialisée (DCOS).

Les joueurs sont en bonne santé mais sont néanmoins extrêmement choqués, tout comme le club qui est en contact permanent avec tous ses joueurs mais aussi avec les autorités compétentes. L’enquête en cours incite l’OM à ne pas communiquer et à attendre d’en savoir plus sur les circonstances de cette agression.

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