Moteurs, Twingo : pourquoi Renault joue la carte audacieuse de la Chine

Devenue l’épicentre de l’automobile mondiale, la Chine confirme son attractivité pour les constructeurs occidentaux, et pas seulement parce qu’elle représente un quart des ventes mondiales. Comme Volkswagen ou Stellantis, Renault multiplie les collaborations avec des groupes chinois, pour bénéficier de leur puissance industrielle et de leur savoir-faire.

Le démarrage ce vendredi de l’activité de Horse Powertrain, la coentreprise créée entre Renault et Geely dans les moteurs thermiques, concrétise l’une des plus importantes alliances sino-occidentales hors du territoire chinois. Grâce à l’activité apportée par ses deux actionnaires, la nouvelle société a réalisé dès sa création 15 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel.