Divertissement

Mort de Patrice Laffont : « On a vécu ensemble pendant 50 ans », Gérard Holtz s’effondre sur le tournage de « Quels Jeux »

Résumé

Résumé

Patrice Laffontun présentateur et producteur emblématique de la télévision française, nous a quitté ce mercredi 7 août 2024 au matin, suite à une crise cardiaque survenu dans sa maison d’Oppède, dans le Vaucluse.

Âgé de 84 anssa disparition laisse un grand vide dans le paysage médiatique français et a profondément affecté ses proches et ses admirateurs.

Gérard Holtz fond en larmes en direct

Invité sur le tournage de Quels jeux le soir du drame, Gérard Holtz, son grand ami, lui a rendu un vibrant hommage en direct à l’antenne.

« C’était un ami très cher, il était le parrain de mon fils Antoineil était généreux, c’était un bon gars. Il était drôle. C’était un grand professionnel qui s’impliquait dans la présentation des matchs même s’il était viscéralement un comique. On vivait ensemble depuis 50 ans, c’était un super gars… Il connaissait parfaitement le foot, il aurait dû faire le commentaire de foot« , a-t-il déclaré, les larmes aux yeux, avant de rappeler sa dernière conversation téléphonique avec le défunt : « Je l’ai eu au téléphone il y a deux jours. Nous devions nous rencontrer parce qu’il travaillait sur une pièce de théâtre qu’il allait jouer avec sa fille à la rentrée. Il allait laisser un vide dans la famille.« 

« Il était comme mon frère »

Quelques heures plus tôt, c’était dans les colonnes de Parisien que le célèbre journaliste a honoré la mémoire de son ami.Je suis brisé, il était comme mon frère » a-t-il confié.

« Il était l’un des meilleurs hommes du monde. Il avait un cœur d’or. Il était le parrain de mon fils Antoine, qui a aujourd’hui 37 ans, et il est dévasté. Il y avait une véritable osmose entre eux. Depuis qu’il était petit, il s’occupait de lui, il venait le chercher le mercredi, ils déjeunaient ensemble, il l’emmenait au musée.« 

Et d’ajouter : « Je lui ai parlé au téléphone il y a deux jours, il semblait toujours en pleine forme. Même si dernièrement il me parlait de son corps fatigué, il n’aimait pas ça, se sentir fatigué, mais Il n’avait pas peur de la mort. Il disait : « La mort, je m’en fiche » » Des déclarations touchantes.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
Bouton retour en haut de la page