Mort de Michel Blanc : Christian Clavier prend la parole pour la première fois et partage une tendre photo
Le monde du cinéma français est toujours sous le choc de la perte de l’un de ses plus grands talents. Dix jours après la mort subite de Michel Blanc, son ami de longue date et partenaire de jeu Christian Clavier s’est enfin exprimé publiquement sur les réseaux sociaux.
Une amitié nouée sur les bancs de l’école
Un adieu silencieux et émouvant
Lors des obsèques de Michel Blanc, organisées le 10 octobre à l’église Saint-Eustache à Paris, Christian Clavier était visiblement bouleversé, incapable de retenir ses larmes. La cérémonie, Ouvert au public à la demande de la compagne de Michel Blanc, Ramatoulaye Diop, a été l’occasion pour les fans et les proches de rendre un dernier hommage à cet acteur emblématique.
Un hommage sobre mais puissant
Ce lundi 14 octobre, Christian Clavier a enfin rompu le silence sur son compte X (anciennement Twitter). Il a partagé une photo en noir et blanc d’un jeune Michel Blanc, enveloppé dans un manteau en laine, accompagnée d’un message simple mais poignant : « Toujours avec nous ». Cette publication a immédiatement suscité une vague d’émotion parmi les internautes, qui ont exprimé leur tristesse et leur soutien dans les commentaires.
Toujours avec nous ❤️ pic.twitter.com/rbLoW0GwcA– Christian Clavier (@Ch_Clavier) 14 octobre 2024
Michel Blanc, décédé le 3 octobre à l’âge de 72 ans des suites d’un arrêt cardiaque suite à une allergie, laisse derrière lui une carrière riche et variée.
Connu pour son rôle emblématique de Jean-Claude Dusse dans la saga « Le bronzé »il a su transcender la comédie pour briller également dans des rôles dramatiques et en tant que réalisateur. Sa carrière, qui s’étend sur un demi-siècle, a été couronnée de succès, avec notamment quatre nominations au César du meilleur acteur.
L’hommage de Christian Clavier rappelle non seulement la perte d’un grand acteur, mais aussi celle d’un ami cher. Comme le résumait si bien Gérard Jugnot après les obsèques : « Le rire et les larmes sollicitent les mêmes muscles. Quitte à choisir… »