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Monkeypox : l’Institut Pasteur lance des mesures de mise en œuvre immédiate pour « analyser », « tester » et « vacciner » les futurs patients atteints de MPOX

Monkeypox : l’Institut Pasteur lance des mesures de mise en œuvre immédiate pour « analyser », « tester » et « vacciner » les futurs patients atteints de MPOX

Un communiqué de presse a été publié lundi 19 août pour présenter l’avancement des mesures mises en place.

La circulation de la variole du singe s’est intensifiée depuis que l’Afrique est confrontée à une nouvelle souche du virusplus mortel et plus transmissible que les précédents. Alors que ce dernier est arrivé en Europe, l’Institut Pasteur connu pour lutter contre les maladies, en France et dans le monde, a publié un communiqué ce lundi 19 août.

« Avec la circulation active de cette nouvelle souche de Mpox dans plusieurs pays africains et son apparition récente en Europe, il est probable que des personnes soient touchées en France. situation sanitaire grave« , ont expliqué les chercheurs.

Trois mesures à mettre en œuvre immédiatement

« Dans ces circonstances », l’Institut Pasteur a souhaité mettre en place différentes mesures.

Tout d’abord, il s’agirait deanalyserà la demande des autorités sanitaires, la échantillons suspects réalisée dans les hôpitaux parisiens ou au Centre Médical de l’Institut Pasteur (CMIP) pour établir un diagnostic de Mpox.

Après, tester les patients présentant des symptômes évocateurs de Mpox. Des échantillons seraient prélevés « dans une salle d’isolement à pression négative et application d’une procédure éprouvée pour la manipulation, l’emballage et le transport des échantillons vers un laboratoire confiné de niveau de biosécurité.

Enfin, vacciner « toutes les personnes issues des populations ciblées par les recommandations sanitaires en cours de réévaluation.

Recherche parallèle

L’Institut Pasteur, en collaboration avec l’ANRS-MIE, annonce également « intensifier la recherche qu’il conduit déjà depuis plusieurs années sur le Mpox, surtout en Afrique centralepour contribuer à combattre et à contenir de manière durable les épidémies liées à ce virus ».

Il s’agirait notamment d’identifier les réservoirs animaux du virus, de renforcer leurs capacités de diagnostic à l’aide de tests pouvant être déployés sur le terrain et d’améliorer les traitements et les vaccins à plus long terme.

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