Pendant que les autres clubs de Ligue 1 croisent le fer sur les pelouses de France, le Trophée des Champions rendait son verdict ce dimanche au Stadium 974 de Doha au Qatar. Le Paris Saint-Germain, double tenant du titre et vainqueur de 10 des 11 dernières éditions, avait l’objectif de débuter ce mois de janvier crucial par un premier titre cette saison, avant de jouer sa survie en Ligue des Champions contre Manchester City puis Stuttgart. De son côté, l’AS Monaco avait une défaite à faire oublier face aux Parisiens en décembre et un message à faire passer quant à leur capacité à contester la suprématie nationale des joueurs de Luis Enrique. Pour cette belle affiche, les Parisiens s’organisaient dans un 4-3-3 avec Gianluigi Donnarumma qui officiait comme dernier rempart. Devant lui, on retrouvait Nuno Mendes, Willian Pacho, Marquinhos et Achraf Hakimi. Warren Zaïre Emery, Vitinha et Joao Neves se retrouvaient dans l’entrejeu. Lee Kang-in et Désiré Doué accompagnaient Ousmane Dembélé en attaque. De leur côté, les Monégasques s’articulaient dans un 4-2-3-1 avec Philipp Köhn dans les cages derrière Vanderson, Thilo Kehrer, Mohammed Salisu et Caio Henrique. L’entrejeu était assuré par Aleksandr et Denis Zakaria. Devant, George Ilenikhena prenait la pointe de l’attaque avec Eliesse Ben Seghir, Takumi Minamino et Maghnes Akliouche à ses côtés. La première période a commencé avec un rythme intense. Les Parisiens se sont rués en transition côté droit avec Hakimi à la baguette qui a centré à l’entrée de la surface.
La frappe de Dembélé a été contrée par la défense (2e). Sur un coup franc côté droit, Lee Kang-in a enroulé en rentrant le ballon au premier poteau vers les pieds de Dembélé, qui a déclenché sans élan un tir, mais Salisu a pu dégager après la main ferme de Köhn (3e). La punition était toute proche pour Monaco. Köhn a raté sa relance pour Kehrer, qui a vu Doué se ruer dans son dos, chiper le ballon et enchaîner du pied droit. Köhn a dévié la tentative de l’ancien Rennais sur sa transversale (9e). L’intensité des Monégasques a aussi été récompensée côté droit, Vanderson a pu dédoubler puis centrer au premier poteau. Le ballon a légèrement été dévié pour fuser devant Akliouche et Donnarumma a pu se coucher dessus (16e). Dembélé a ensuite été trouvé dans l’axe à 20 mètres. Il a tenté une frappe du pied croisée, mais Köhn s’est détendu pour capter en deux temps (22e). L’ancien Barcelonais était encore à l’œuvre par la suite. Il a accéléré plein axe, s’est engouffré entre les lignes, s’est appuyé sur Nuno Mendes mais a écrasé sa frappe du droit, directement sur Köhn (23e). Lee s’est chargé lui-même de ce coup franc obtenu côté droit, et a servi Vitinha en retrait qui a croisé du droit. Sa frappe a filé de peu à côté du poteau opposé de Köhn (30e). A l’approche de la pause, les Monégasques se montraient à nouveau menaçants derrière un ballon récupéré haut. Akliouche avait de l’espace dans l’axe, s’organisait vite et frappait du droit à 20 mètres. Donnarumma a réagi vite pour repousser sur sa droite (40e). L’ASM finissait mieux cette première période. Golovin a levé un ballon dans la surface mal dégagé par les Parisiens. Il est revenu sur Minamino côté droit qui a enchaîné dos au but, trouvant Donnarumma sur sa trajectoire (43e).
Les Parisiens remettaient le pied sur l’accélérateur juste avant la pause. Le ballon circulait bien jusqu’à Lee qui a déclenché une belle frappe du gauche à 20 mètres. Köhn a dévié au-dessus de son but en corner (44e). Après s’être chargé du corner côté gauche, le Sud-coréen s’est proposé dans la surface, a effacé Salisu et a enchaîné en force du droit sans cadrer (45e+2). En seconde période, Monaco est très bien revenu, à l’image de la fin du premier acte. Les Monégasques ont enfin trouvé de la verticalité plein axe, Ilenikhena a lancé Minamino devant lui, mais celui-ci a vu Nuno Mendes débouler en trombe pour le devancer dans la surface (48e). Sur l’action suivante, Akliouche n’a pas pu enchaîner dans la surface, enfermé et en déséquilibre entre trois Parisiens, mais Monaco se montrait très offensif (51e). Le PSG a tenté de réagir avec Dembélé. Le Français a bien suivi avec un bon contrôle orienté pour se présenter face à Köhn. Le portier s’est rué dans ses pieds pour intervenir sans faire faute (52e). Tout de suite après, le jeu a été renversé pour Vanderson qui a réussi un superbe dribble, repiqué devant la surface et décalé Ben Seghir sur sa gauche qui a ouvert son pied. Donnarumma s’est détendu sur sa droite pour dévier en corner (53e). Le rythme s’accélérait et le ballon allait d’un but à l’autre. En transition, le PSG est remonté jusqu’à Dembélé côté gauche qui a feinté puis trouvé Doué devant le but. Sa tentative n’a pas trompé Köhn qui veillait au pas (54e). Les grosses occasions s’enchaînaient des deux côtés. Ben Seghir côté gauche a provoqué devant Marquinhos, accéléré puis centré. De l’autre côté, Vanderson a trouvé le poteau dans un angle fermé (55e). Le PSG a essayé de temporiser après quelques minutes débridées.
Hakimi s’est proposé dans l’axe, Doué a servi Dembélé côté gauche qui a redonné le cuir Hakimi devant le but. À bout portant, il a buté sur Caio Henrique (57e). A l’heure de jeu, tout restait indécis dans ce Trophée des Champions 2025. Après une grosse phase de possession stérile du PSG où le rythme s’abaissait nettement, les premiers changements ont été opérés côté parisien. Luis Enrique a notamment fait entrer Bradley Barcola et Fabian Ruiz, puis de Gonçalo Ramos. De même à Monaco avec les entrées de Breel Embolo et Lamine Camara. Hakimi s’est appuyé sur Dembélé pour se ruer dans la surface côté droit et frapper dans un angle fermé. Le bras gauche ferme de Köhn a sauvé l’ASM (73e). Zaïre-Emery a commis une faute au pressing sur Minamino. Le Japonais a réussi ensuite un bon pressing pour chiper le ballon à Nuno Mendes et tenter sa chance côté droit. Donnarumma a été vigilant pour repousser le danger (78e). Le PSG voulait exploiter l’entrée en jeu d’un vrai buteur et a donc centré rentrant pour la tête de Ramos, battu dans les airs. Monaco souffrait à 10 minutes du terme (83e). Malgré d’autres changements d’Adi Hütter qui visait clairement la séance de tirs au but, les Monégasques poussaient sur leurs dernières occasions. Sur un coup franc côté droit, le ballon a été mis devant le but, a rebondi à 6 mètres, mais Donnarumma a pu se coucher dessus (88e). Dans le temps additionnel, Köhn a réalisé sa neuvième et dernière parade. Ruiz, lancé côté gauche, a centré en première intention. Devant le but, Ramos a ouvert son pied à bout portant et a buté sur la bonne sortie du gardien (90e+1). Alors que la rencontre touchait presque à sa fin, le PSG a fait la différence au bout de ce match indécis. Mayulu s’est proposé côté gauche, a dévié pour Ruiz devant lui qui a centré. Ramos était trop court mais Dembélé, tout seul derrière lui, a pu marquer dans le but vide (90e+3, 1-0). Et c’est ainsi que le PSG a remporté le trophée sur la plus petite des marges (1-0).
L’homme du match : Ousmane Dembélé (8,5) : aligné dans un rôle de faux numéro 9, l’ancien Barcelonais a rapidement été en vue dans ce choc. Auteur d’une première frappe contrée (2e), le numéro 10 francilien, très libre, s’illustrait à nouveau en déclenchant deux belles frappes, repoussée par Kohn (21e, 23e). En confiance et très mobile, il était contré de justesse par un Kohn encore inspiré au retour des vestiaires (52e). Inarrêtable sur ses prises de balle et l’origine des offensives parisiennes, il a souvent déstabilisé l’arrière-garde asémiste, à l’image de ce nouveau rush (73e) ou de ce service lumineux pour Hakimi (74e). Un rendement précieux finalement récompensé au bout du temps additionnel. Trouvé par Ruiz au second poteau, il terminait d’un plat du pied droit pour offrir un nouveau titre au PSG (90+2e). Décisif.
– Donnarumma (7,5) : de retour à la compétition après son terrible choc subi face à Singo, le dernier rempart italien n’a pas eu grand-chose à faire en début de rencontre avant de se montrer décisif en interceptant un centre tendu de Vanderson (16e). Vigilant sur la frappe lointaine d’Akliouche (40e), il était encore parfait sur la reprise cadrée de Minamino (43e). Dans un grand jour, l’ancien gardien de l’AC Milan repoussait la tentative à bout portant de Ben Seghir (53e) avant d’être sauvé par son poteau sur une frappe de Vanderson (54e). Encore présent sur les tentatives de Minamino (79e) et Teze (90e), il n’a jamais cédé. Un match plein.
– Hakimi (7) : étincelant depuis le début de la saison, le piston marocain a débuté cette année 2025 sur le même rythme. Très disponible pour ses partenaires (53 ballons touchés au cours du premier acte), l’ancien joueur du Borussia Dortmund a très rapidement apporté sur le plan offensif en multipliant les montées percutantes. Parfait défensivement, il était tout proche d’ouvrir le score sur un service de Doué (57e) avant de tomber sur un Kohn encore impérial (74e). Une activité précieuse.
– Marquinhos (7,5) : capitaine des Rouge et Bleu, le Brésilien n’a pas été véritablement inquiété au cours du premier acte. Rassurant dans les airs (26e), il a profité de la domination parisienne pour contrôler, sans trembler, les rares offensives monégasques. Toujours aussi concentré après la pause, il est venu apporter le danger à deux reprises dans la surface de l’ASM. Sans succès.
– Pacho (7,5) : très belle surprise du début de saison du PSG, l’Équatorien a encore fait preuve d’une très belle solidité. Vigilant défensivement (8e, 77e), parfait dans les airs (34e) et propre dans ses relances, il n’a cessé de rassurer ses partenaires. Auteur d’un nouveau retour splendide face à Minamino (48e), il a poursuivi son entreprise au retour des vestiaires en bloquant, tour à tour, les offensives de l’ASM. Taille patron.
– Mendes (7) : alors que son avenir dans la capitale française fait couler beaucoup d’encre au cours des derniers jours, le latéral portugais débutait ce Trophée des Champions dans le couloir gauche. Solide défensivement, mais imprécis dans le dernier geste, il était rapidement averti d’un carton jaune pour un accrochage sur Ilenikhena (23e). Face à un Vanderson actif, il a parfois souffert… sans jamais craquer.
– Zaïre Emery (6) : titularisé dans l’entrejeu, le Titi Parisien a bien travaillé sur le plan défensif. Pas forcément très en vue dans les mouvements offensifs parisiens, il a toutefois très bien quadrillé sa zone pour empêcher les Asémistes de développer leur jeu. Un peu en dessous de ses coéquipiers, son match reste pour autant très cohérent. Remplacé par Mayulu (88e), impliqué sur le but décisif des Parisiens.
– Vitinha (7) : dans un rôle de sentinelle, l’ex-joueur du FC Porto a grandement participé à l’emprise des siens au milieu de terrain. Juste techniquement et très à l’aise dans les petits espaces, il s’est montré précis dans ses transmissions. Auteur de deux belles frappes à l’entrée de la surface (30e, 32e), il aurait pu décanter la situation, mais ses tentatives manquaient de précision. Après la pause, le Portugais a encore fait preuve de solidité. Une prestation très encourageante.
– Neves (7,5) : brillant depuis son arrivée dans la Ville Lumière, le milieu de terrain portugais a encore une fois donné le rythme. Autoritaire dans le duel et toujours bien placé, il a constamment freiné les offensives monégasques. Sur le plan offensif, le numéro 87 parisien a fait parler sa technique pour orienter le jeu et créer des décalages. Avec d’innombrables transversales précises, il a aéré le jeu, tout en essayant de se montrer aux abords de la surface asémiste (36e). Un match très solide avant de quitter la pelouse. Remplacé par Ruiz (67e), auteur d’une entrée tranchante et passeur décisif au bout du temps additionnel.
– Doué (6,5) : préféré à Bradley Barcola pour débuter ce choc face à l’AS Monaco, l’ancien Rennais n’a pas tardé à confirmer sa très belle dynamique après une fin d’année 2024 plus que convaincante. Profitant d’une relance hasardeuse de Kohn, le numéro 14 du PSG voyait sa lourde frappe s’écraser sur la barre transversale monégasque (9e). Plus discret par la suite et souvent bien pris par Vanderson, il a peiné à faire parler sa vivacité et sa technique. Auteur d’une frappe écrasée après la pause (54e), il est monté en puissance en se positionnant entre les lignes. Replacé dans un rôle de faux numéro 9 après la sortie de Lee, il a tenté de débloquer la situation. En vain. Remplacé par Ramos (72e), tout proche de provoquer la décision avant de voir sa reprise déviée par un Kohn héroïque (90+1e).
– Dembélé (8,5) : voir ci-dessus
– Lee (6,5) : présent sur le côté droit de l’attaque parisienne, le Sud-Coréen a d’abord régulièrement échangé avec Hakimi. Inspiré, à l’image de plusieurs déviations intéressantes, il se montrait dangereux juste avant la pause en faisant briller Kohn sur une lourde frappe du gauche (44e) avant de déclencher une nouvelle tentative non cadrée (45+1e). Plus en retrait après la pause, il cédait finalement sa place. Remplacé par Barcola (67e), auteur d’une frappe contrée (76e) et d’une entrée globalement tiède. Averti pour un tacle trop rugueux (87e).
– Köhn (8,5) : la soirée aurait pu bien mal démarrer pour le portier monégasque, après une relance manquée qui aurait pu offrir l’ouverture du score au PSG. Mais le Suisse est ensuite rentré dans son match et a multiplié les interventions. Il a été le cauchemar de Dembélé par trois fois (21e, 23e, 52e). En seconde mi-temps, il est une nouvelle fois décisif devant Hakimi (75e), puis face à Ramos, à bout portant (90+1e). Il cédait finalement face à Dembélé mais quel match avec 9 arrêts au total !
– Vanderson (7) : le Brésilien a réalisé un match de très bonne facture. Si défensivement, il a parfois peiné face à Désiré doué, le latéral droit s’est montré très dangereux offensivement. Au cours des 45 premières minutes, il aurait pu être passeur décisif pour Minamino sur un bon centre (16e). Son premier tir est passé loin des buts de Donnarumma (26e) mais l’ancien joueur de Grêmio est venu toucher son poteau droit en seconde période (54e). Remplacé par Teze (86ème).
– Kehrer (6,5) : comme ses trois autres compères en défense, le joueur passé par le PSG n’a pas eu grand chose à se reprocher au cours de ces 90 minutes. Il est présent dès le début de la partie pour contrer une frappe de Dembélé (2e), puis coupe un centre de Nuno Mendes (12ème). Deux premières interventions à l’image de son match : très solide. Il ne peut cependant que constater les dégâts sur le but décisif de Dembélé.
– Salisu (6,5) : solide tout au long du match, le Ghanéen a craqué lorsqu’il ne fallait pas. Il manque son interception sur le centre de Ruiz qui permet à Dembélé d’ouvrir le score et d’offrir le titre au PSG (90+3e). Très frustrant comme en témoigne son dépit au coup de sifflet final.
– Henrique (6) : à l’inverse de son compatriote brésilien, le latéral gauche est resté bien plus en retrait lors de cette rencontre. L’occasion pour lui de mettre à mal les offensives parisiennes, à l’image de ce contre décisif devant Hakimi dans ses cinq mètres cinquante (57e). Un match cohérent mais sans éclat.
– Golovin (6) : aligné dans un rôle de numéro six aux côtés de son capitaine, le Russe aura, logiquement, été timide sur le front de l’attaque. À l’inverse, l’ancien du CSKA Moscou a été précieux pour contenir les vagues franciliennes. Aux côtés de Kehrer, il est le Monégasque ayant récupéré le plus de ballons. Auteur d’une bonne intervention pour couper une passe très dangereuse (19e), le Russe aura été intéressant à la récupération, avec 3 ballons grattés dans les pieds parisiens. Remplacé par Camara (72e).
– Zakaria © (6,5) : comme souvent, le milieu de terrain a fait parler son impact physique au cours du match. Il a permis à son équipe de reprendre son souffle lorsque c’était nécessaire, à l’image de son nombre de passes réussies (32 sur 34). Pour son retour, il a particulièrement brillé, mais n’aura finalement pas pu empêcher la défaite des siens.
– Akliouche (6,5) : aligné sur le côté droit, le crack du Rocher aura beaucoup essayé pour tenter de déstabiliser le bloc parisien. Plus gros dribbleur côté monégasque, avec une réussite relative (4 tentés, 2 réussis), le Français n’a pas eu de grosses occasions à se mettre sous la dent, si ce n’est cette frappe lointaine sortie par Donnarumma (40ème). Un match toutefois intéressant. Remplacé par Magassa (86e).
– Ben Seghir (5,5) : l’autre jeune pousse de l’attaque d’Adi Hütter n’est pas parvenu à réellement influencer le cours du match. Plus en réussite que son coéquipier sur ses dribbles néanmoins (3 tentés, 2 réussis), il aurait pu être le héros de la soirée côté monégasque sur un excellent service de Vanderson, mais Donnarumma en a décidé autrement (53e).
– Minamino (6,5) : le Japonais n’est pas parvenu à faire trembler les Parisiens ce dimanche soir. Le joueur de 29 ans aura essayé par deux fois d’inquiéter Donnarumma, sans succès. Balle aux pieds, il n’a pas été en réussite sur ses dribbles, n’en réussissant aucun sur ses deux tentatives. Pour autant, son activité a permis à l’ASM de faire trembler le PSG sur certaines séquences.
– Ilenikhena (5,5) : l’avant-centre de 18 ans s’est montré volontaire, mais a manqué de précision. Lorsque son équipe souffre en début de rencontre et ne touche pas le ballon, c’est lui qui déclenche le pressing sur Donnarumma (6e). Presque invisible avec le ballon au cours des 20 premières minutes, le Nigérian est néanmoins resté précieux. Il obtient par exemple une faute dans le rond central pour permettre à son équipe de souffler et faire écoper Nuno Mendes d’un carton jaune (23e). Un match assez frustrant pour le reste. Remplacé par Embolo (72e), qui aura plus fait figure de premier rideau défensif que d’avant-centre.
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Par Louise Ginies Publié 14 janvier à 21h38, mis à jour 15 janvier à 11h31…
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