Monaco de retour en C1, Aubameyang (encore) porte l’OM, ​​Clermont relégué…Les tops et les flops

Hauts

Monaco retrouve la Ligue des Champions

L’hymne de la Ligue des Champions résonnera bien au Stade Louis II, à l’occasion de la saison du centenaire de l’ASM. Après six ans d’attente, le club de la Principauté s’est qualifié pour la phase finale de la C1, assurant mathématiquement sa deuxième place au classement. Très bien entamée avant cette avant-dernière journée, l’ASM a terminé le chantier sur le terrain de Montpellier (0-2). Les deux buts monégasques, signés Ouattara et Fofana en seconde période, ont récompensé la domination des hommes d’Adi Hutter, supérieurs en tous points face aux Héraultais démobilisés et privés de Savanier. Vice-champion du PSG, Monaco terminera cet exercice 2023-24 sans aucune pression face à Nantes dimanche prochain.

Aubameyang (encore) porte l’OM

On l’a laissé en larmes jeudi soir, abattu après la déroute de l’OM sur la pelouse de l’Atalanta en Ligue Europa (3-0). Pierre-Emerick Aubameyang a rapidement retrouvé le sourire. Et son efficacité. Associé à Moumbagna sur le front de l’attaque marseillaise, l’international gabonais a précipité la chute de Lorient (3-1), inscrivant un nouveau doublé. Auteur de l’ouverture du score de la tête, il a ensuite relevé son équipe en seconde période, en transformant un penalty avec sang-froid. Avec désormais seize buts au compteur, le joueur de 34 ans est devenu le joueur marseillais le plus âgé à dépasser les quinze buts sur une saison en Ligue 1 (Opta).

Kylian Mbappé marque pour son dernier au Parc des Princes

Il était attendu et il a répondu. Pour son dernier match au Parc des Princes sous le maillot du Paris Saint-Germain, Kylian Mbappé – qui portait le brassard de capitaine – a ouvert le score dès les 8es.^e minute de jeu, suite à une longue passe en profondeur et à un duel gagné contre Guillaume Restes. Le Parisien pensait sans doute avoir fait le plus dur. Mais c’était sans compter sur l’abnégation et la confiance du Toulouse FC qui a su renverser le PSG pour remporter une victoire de prestige (1-3). Et ainsi gâcher le « der » de « KM7 ».

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Des flops

Clermont, la sentence est tombée

Pas de miracle pour Clermont, officiellement relégué. Trois ans après avoir découvert l’élite, le club auvergnat a laissé échapper ses minuscules espoirs de rester, concédant une défaite fatale contre Lyon (0-1). Mangala a inscrit l’unique but du match en début de seconde période, au cœur d’une défense statique. A l’image de sa saison très laborieuse, l’équipe de Pascal Gastien n’a pas mal fait dans le jeu, mais a payé cher son manque d’efficacité sur les deux surfaces. Coincée à la dernière place du classement depuis la seizième journée, la lanterne rouge de Clermont fera ses adieux à la Ligue 1 sur la pelouse de Lorient. Les Merlus sont bien partis pour l’épauler en Ligue 2 la saison prochaine.

Le PSG surpris à domicile

Après son élimination en demi-finale de Ligue des Champions face au Borussia Dortmund, le Paris Saint-Germain se devait de réagir. Et encore plus à domicile, contre le Toulouse FC, avec la remise du trophée de la Ligue 1 et la dernière rencontre de Kylian Mbappé au Parc des Princes. Mais les joueurs de Luis Enrique – qui avaient choisi de beaucoup tourner – n’étaient pas à la hauteur, notamment en termes d’engagement et d’intensité. Après l’ouverture du score de « KM7 », ils ont rapidement concédé l’égalisation (13^e). Avant d’encaisser encore deux buts en seconde période (68^e et 90^e+4). Un revers qui a (un peu) « gâché » la fête.

Le FC Metz renversé

Le FC Metz peut avoir quelques regrets. En ouvrant le score en seconde période grâce à Georges Mikautadze (54e^e), d’une splendide frappe du gauche, les Grenats réalisent un excellent résultat dans la course au maintien et peuvent espérer sortir de la zone rouge lors de l’ultime journée de championnat. Mais le RC Strasbourg Alsace, qui jouait sans la moindre pression ce dimanche soir, n’a pas baissé les bras et a renversé la situation en l’espace de trois minutes : d’abord grâce à Emanuel Emegha (89e).^e), puis par Andrey Santos (90^e+1). Une défaite qui fait mal au FC Metz, plus barragiste que jamais. Le maintien est encore (très) loin d’être assuré.