Divertissement

Michel Fugain bouleversé par une question sur sa défunte fille Laurette : « C’est toujours un peu difficile » (VIDEO)

A l’occasion de son nouveau spectacle La vie, l’amour, etc. au théâtre Bobino du 13 janvier au 10 mars 2025, Michel Fugain était l’invité deNous faisons à nouveau de la télé sur RTL ce samedi 9 novembre 2024. Le chanteur ne s’attendait pas à ce que le journaliste Éric Dussart lui pose une question sur Laurette, sa fille décédée des suites de complications liées à sa greffe de moelle osseuse en mai 2002, un an après avoir appris qu’elle était souffrant de leucémie. Pour faire avancer la recherche et venir en aide aux victimes de la maladie, sa mère Stéphanie Fugain fonde alors l’association Laurette Fugain.

Michel Fugain submergé par l’émotion sur RTL

Lors de l’interview, l’animateur de RTL a demandé à Michel Fugain s’il continuait à chanter « pour Laurette« . »Pour… Laurette ? Oh, chérie…« , a déclaré l’artiste, très touché. « Elle fait partie d’un tout, je chante des larmes et des sourires« , a-t-il ajouté. Alors que Éric Dussart a continué à évoquer le décès de sa fille, l’interprète de Longue vie à la vie a été très ému et a fini par demander à changer de sujet, n’ayant pas la force d’aborder ce drame : « Oui… (il respire), parce que… Elle avait 22 ans. D’accord ? Et le désir est de vivre. Et c’est… Nous… On passe à autre chose ?« .

Le chanteur sauvé par sa compagne Sanda, un cadeau »du destin« 

C’est seulement « deux mois plus tard« cette perte insupportable que Michel Fugain a rencontré Sanda, la femme qui partage encore aujourd’hui sa vie : « J’étais mort. J’étais mort ! J’étais pâle, verte, mes cheveux tombaient en morceaux, j’avais une pelade incroyable. A l’hôpital, quand Laurette était soignée, j’étais au cinquième (étage), elle était au quatrième. J’étais traité pour une pelade. Mon corps a expulsé des trucs parce que c’était un choc terrible. (…) J’allais mourir, je le sentais. J’étais prêt à partir. Habituellement, nous coulons, et c’est à ce moment-là que la sirène retentit. Elle m’a attrapé et m’a ramené à la surface. (…) Là, j’ai cru que c’était un signe, quelque chose du destin en fait. C’est-à-dire qu’il y a une âme qui part, et je rencontre une autre âme, avec qui j’étais ami au début. Et puis un jour, nous sommes tombés en panne. À 60 ans, j’ai rencontré la femme pour laquelle j’étais fait et je crois que j’étais l’homme pour qui elle était faite« 

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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