Le report de la hausse des retraites annoncé mardi 1er octobre par Michel Barnier a suscité de nombreuses réactions. Ce qui, au premier abord, ne semble pas beaucoup affecter le Premier ministre. Jeudi soir encore, chez nos confrères de France 2, il est resté ferme sur le planning à ce sujet.
« L’indexation aura lieu en 2025, mais le 1er juillet plutôt que le 1er janvier. Bien sûr, je m’y engage. Cette indexation est due. Simplement, nous allons le reporter de quelques mois moyennant une contribution », a-t-il assuré sur le plateau de l’émission. L’événement.
Depuis, une levée de boucliers s’élève de la part des syndicats. Le Rassemblement national a également indiqué qu’il s’opposerait à cette mesure. Michel Barnier, du salon du bétail de Clermont-Ferrand, semble s’être un peu adouci sur le sujet. « J’ai entendu les parlementaires qui parlent. Laurent Wauquiez m’a dit la même chose. Je comprends que cette mesure provoque et crée des inquiétudes, notamment pour tant de gens qui ont de petites retraites. Si dans le débat parlementaire, il y a peut-être d’autres solutions que celle-là. , pour éviter d’imposer cet effort aux retraités, Je suis ouvert à trouver d’autres solutions« , a-t-il assuré.